Merci Donald !
(sous-titre : de la Division à l’Unité)

Hier matin, alors que je prenais mon petit-déjeuner, m’est venu une « ébauche » du présent texte. Quelques bribes, par ci, par là. C’était une journée froide, température négative comme depuis quelques jours, et, en même temps, ensoleillée. J’apprécie ce contraste de froideur et de chaleur, de brouillard se dissipant et d’un soleil naissant. Dimanche passé, nous en avons profité pour aller nous balader sur les chemins de traverse à Maredsous. La Nature est tellement inspirante.

Avec les quelques bribes qui me sont venues, je fais de la « couture ». Ceci me rappelle ma Maman qui faisait des assemblages de pièces de vêtements pour soit en rapiécer d’autres, soit pour en faire des couvertures. Certain.e.s personnes, comme dans les ateliers de haute couture, sont appelées des petites mains. Elle était une « petite main ».

J’apprécie cette expression « petite main » car elle désigne, généralement, des personnes travaillant dans l’ombre. Elles effectuent un travail minutieux, essentiel, souvent méconnu. Il n’y a pas d’éclats médiatiques et, pourtant, elle participe activement à la réussite d’un projet. À mon niveau, je me considère comme une « petite main ».

Les « petites mains » sont les artisans de l’invisible, les tisseurs de l’ombre dont les fils délicats donnent naissance aux plus belles œuvres. À l’image des étoiles qui scintillent discrètement avant l’aube, elles œuvrent avec humilité, sans quête de gloire, simplement avec la certitude que chaque point cousu, chaque geste répété, participe à une harmonie plus grande.

Elles sont ces Âmes discrètes qui, par la patience, le soin, le détail, transforment l’éphémère en intemporel. Leur humilité est leur Lumière, leur labeur un chant silencieux résonnant dans la beauté du monde. Car, sans elles, il n’y aurait ni grandeur ni chef-d’œuvre, seulement des esquisses inachevées, privées de cette essence secrète que seul le dévouement sait insuffler.

J’entends la question : « D’accord Michaël, mais que vient faire Donald dans l’histoire ? ». J’y viens. En octobre 2022, j’avais écrit un texte intitulé « Merci Vladimir ! ».

Dans ce texte, je reprenais une publication de Fabienne qui disait : « Bonjour les gens. Je souhaite rencontrer en RÉEL, des personnes qui vont dans le sens de l’unité, l’altruisme, le partage et l’écoute. Des gens qui ont conscientisé (et il y en a, mais difficile à trouver), l’arnaque humaine dans laquelle on est. Je ne juge point. Je constate avec effroi et stupeur chaque jour, l’hypnotisation du peuple qui accepte la dictature de ‘nos élites’ sans broncher. Comment est-ce possible ? Solo je ne puis rien. Je réside sur la commune de … et n’ai encore pas été confronté aux gens réveillés d’un point conscientisation. Je me sens si seule dans mes convictions pourtant. J’ai fait des choix qui m’appartiennent et j’en suis heureuse. Ça implique de laisser partir tout du moins ceux et celles qui ne sont pas ou plus en adéquation avec vos propres valeurs, par extension les miennes. Mes choix sont incompréhensibles pour eux , d’où mon détachement tout naturel. Je n’attends rien dans l’absolu. J’essaie à mon niveau de capter par fréquences vibratoires plus élevées, les personnes qui parlent le même langage que le mien. J’aime à croire que ça reste encore possible dans ce chaos ou plus rien ne semble en apparence avoir de sens. À bon entendeur… Gratitude pour les personnes empathes qui auront entendu et écouté ce message (il y a une différence en effet), et de la même famille d’âmes (ces derniers comprendront assurément le message) ».

Son questionnement est toujours d’actualité. Je replace ici la réponse que j’avais donnée. Qui plus est, même pour moi, dans le contexte actuel, je reprends conscience de l’éclairage qui m’avait été donné à l’époque. Ma réponse, qui n’est que mon expérience, a été : « La période actuelle est propice et est une ‘opportunité’ à ce que vous appelez l’éveil des consciences. Même si je n’apprécie pas le mot ‘éveil’ car il est mis à ‘toutes les sauces’ et n’est pas un ‘éveil’ en soi. Pourquoi ai-je mis ‘propice’ et ‘opportunité’ ? C’est grâce à tout ce qui se passe, dans cette période, que beaucoup de gens comme vous, comme moi, se rendent compte que, si cette période n’était pas telle qu’elle est, il y aurait moins ‘d’éveil’. Nous devrions remercier Poutine et consorts (oui, je sais, c’est fort) pour nous permettre de nous ‘réveiller’, de voir que quelque chose ne va plus. Si nous vivions dans un monde de bisounours, nous resterions des bisounours. Nous vivons dans un monde de dualité avec ce que l’on pourrait appeler des forces (je changerai le terme plus tard dans ma réponse) de l’Ombre et de la Lumière. Le plan de l’Ombre est de maintenir le monde terrestre dans un état de dépendance à ce que vous appelez la dictature. Le plan de Lumière est d’amener à la conscience que nous sommes dans une illusion que nous créons tous les jours. Pour beaucoup, il y a une sorte de combat, de guerre. Il n’y a ni combat, ni guerre, il y a simplement le libre-arbitre, que nous avons tous, qui crée ce semblant de guerre. Nous sommes tous des Frères et Sœurs que l’on soit de l’Ombre ou de la Lumière. S’incarner sur terre, comme le disait un guide, un Être de Lumière demande beaucoup de ‘courage’ (pour l’Âme, le courage ne veut rien dire). Vivre dans un monde densifié tel que le nôtre est une formidable expérience. Attention, juge-ment, oui, il y a du ‘mauvais’, oui, il y a du ‘bon’ et, en même temps, quand on découvre que le seul ‘but’ (mot mal adapté) est l’AMOUR. Je l’écris avec des majuscules car je ne parle pas de l’amour physique (même si c’est une composante). Je parle de l’AMOUR auquel certain.e.s ajoutent ‘Inconditionnel’ (surcharge pour ma part) ».

Si je peux m’exprimer ainsi, ma réponse est toujours « valable », d’actualités. Encore plus avec tous les troubles mondiaux. Si j’ai choisi d’intituler le présent texte « Merci Donald ! », c’est parce qu’il peut, aussi, être remercié. Il n’a pas « conscience » de ce qu’il fait pour chacun.e d’entre nous. Je sais qu’il ne voit que son intérêt si pas personnel, à tout le moins, l’intérêt de son clan.

En fait, ce cher Donald donne, si je peux m’exprimer ainsi, des coups de pieds « au cul », des coups de pied dans la fourmilière. Il suffit de voir la réaction des politicien.ne.s qui paniquent suite à l’augmentation, notamment, des droits de douane. Tout d’un coup, il y a un vent de panique remettant en cause leurs idéologies, leurs privilèges, leurs acquis. Attention, jugement, ces politicien.ne.s ne sont pas les « petites mains » décrites dans l’introduction du présent texte. Ce sont souvent des personnes placées, là où elles sont, pour endormir le peuple, le « gentil » peuple, les moutons de panurge. J’ose même écrire que la plupart sont des politicards. Le politicard cherche avant tout à se maintenir en place, quitte à sacrifier ses idéaux. Il voit la politique comme un métier lucratif, un jeu d’influence.

Ainsi, l’élection de Donald Trump a été un choc pour beaucoup de monde. Je dirai même une onde de choc résonnant au-delà des frontières, des idéologies, des dogmes. Pour certains, c’est un triomphe. Pour d’autres, c’est un cauchemar. Certain.e.s pourraient dire que c’est le « Retour du Fou ». Pourtant, au-delà des réactions immédiates, cet événement est surtout un miroir.

Un miroir tendu devant moi, devant nous, pour révéler ce qui sommeillait dans l’ombre de la conscience collective. Et si, plutôt que de voir cet épisode comme une simple aberration politique, je le considérais comme une invitation à voir autrement ? Comme je l’ai fait avec « Merci Vladimir ! ». Vladimir Poutine entrait en guerre physique avec, si je peux m’exprimer ainsi, armes et bagages. Donald Trump, lui, c’est une guerre économique. Ils ont, quand même des points communs, l’idéologie, le pouvoir et l’argent.

Je ne peux nier l’intensité des émotions soulevées par cet événement. Peur, angoisse, colère, incompréhension. Chez moi, c’était l’incompréhension. Comment des millions d’américains pouvaient-ils se laisser duper par cet « énergumène » ? Oubliaient-ils leur discernement ? Étaient-ils endormis à ce point ? Sont-ils, comme je l’ai déjà cité, des moutons de panurge ?

Beaucoup de questions et, en même temps, qu’est-ce que ce moment révèle en moi ? L’élection d’un homme ne peut être qu’un symptôme jamais la cause. Ce qui j’exprime ici, c’est l’état profond du monde, l’agitation d’une humanité en transition, tiraillée entre ses anciens schémas et une nouvelle conscience qui peine, encore, à s’ancrer, à s’incarner.

Je prends conscience que ma réaction, quelle qu’elle soit, n’est pas une simple opinion. Elle est le révélateur de mes propres dualités. Ce qui me « choque », ce qui m’indigne ou me fascine n’est autre que l’expression des contradictions présentes en moi.

Pendant longtemps, j’ai cru en un ordre extérieur, un système garant de stabilité, une sécurité fondée sur des institutions solides. Pourtant, à chaque moment d’Histoire, cet ordre s’effondre pour renaître sous une autre forme. L’élection de Donald Trump, avec son caractère polarisant, est une perturbation, une dissonance, une rupture. Pourtant qu’est-ce que le chaos 1️⃣ (référence) sinon la préface d’un nouvel ordre ? Comme disait Héraclite d’Ephèse 2️⃣ : « Le combat est père de toute chose, de toutes les lois; les uns, il les porte à la lumière comme dieux, les autres comme hommes; les uns, il les fait esclaves, les autres, libres ».

Est-ce qu’il est nécessaire, vraiment, de se battre pour tout ? N’est-ce pas là un propos violent voire agressif ? Pour ma part, certain.e.s confondent le combat avec la violence. Alors qu’ils sont deux choses tout à fait différentes. Il est temps d’en finir avec la sagesse édulcorée des marchands de bien-être pour découvrir la force heureuse, vivifiante du vrai combat qui permet de s’engager. Je me surprends à voir dans cette agitation une nécessité. Ce n’est pas un échec du système. C’est la preuve qu’il était prêt à être remis en question. Et moi, suis-je prêt à remettre en question mes propres limites ?

Avant d’aller plus loin dans l’écriture du présent texte, je me rends compte qu’il m’est nécessaire d’expliciter la différence, à mes yeux, entre le combat et la violence. Pour ma part, la différence réside dans leur nature, leur intention, leur signification.

La violence est une force brute, impulsive, souvent destructrice. Elle naît d’une perte de contrôle, d’une réaction instinctive qui vise à blesser, à dominer, à anéantir. Elle est souvent associée à la peur, à l’angoisse, à la haine voire même à un déséquilibre émotionnel. La violence peut être aussi physique que verbale 3️⃣ que symbolique 4️⃣. Elle engendre rarement une transformation constructive. Elle est aveugle, chaotique, comme un feu qui consume sans distinction. Elle peut être exercée par ignorance, par désir de pouvoir. Elle ne cherche pas forcément à comprendre l’autre ou à évoluer. Je sais et je reconnais que j’ai vécu cette violence quand j’étais enfant. J’en parlerai, peut-être, un jour.

Le combat, en revanche, est une confrontation dirigée par une volonté, par une conscience. Il peut être physique, mental, émotionnel et, même, spirituel. Oui, ceci rappelle les quatre niveaux de conscience. Cependant, il implique une discipline, une intention précise. Contrairement à la violence, le combat n’est pas nécessairement destructeur. Il peut être un moyen d’évolution, une quête de vérité, une affirmation de soi face à l’adversité. Le combat est souvent guidé par une cause, une nécessité qui est celle de défendre un idéal, affronter ses propres angoisses, surmonter un obstacle. Il requiert courage, stratégie. Bien qu’il puisse inclure de la souffrance, il tend vers une transformation et non une simple explosion d’énergie de polarité « négative ». Je mène aussi mes propres combats. J’en parlerai, peut-être, un jour.

Ainsi, c’est une différence d’Esprit et d’Impact. La violence divise, détruit. Le combat confronte, construit. La violence réagit sans réflexion. Le combat agit avec conscience. La violence naît du désespoir. Le combat naît du courage. Je sais que, dans l’Histoire, de nombreux conflits ont oscillé entre violence et combat. Cependant, un « guerrier » spirituel, je préfère « combattant » spirituel, ne cherche pas la destruction. Il ne combat pas pour écraser, uniquement pour révéler, évoluer, grandir.

Ainsi, la question que je peux me poser est : « Face à un défi, est-ce que je réagis avec violence ou est-ce que je mène un combat éveillé ? ». Pour ma part, sans le savoir, Donald Trump est une sorte de mélange des deux. Il est autant un violent visible qu’un combattant invisible. Il incarne une voix brute, celle qui dérange, qui divise, qui ne s’excuse pas. Pourquoi trouble-t-il autant certain.e.s ? Peut-être parce que ceci les met face à leurs propres paradoxes, à leurs propres angoisses.

Je sais, depuis quelques années, que l’ombre fait partie du chemin, de mon chemin. C’était le sujet du premier texte publié sur ce groupe. Le texte était basé sur la citation de Carl Gustav Jung 5️⃣ : « Ce n’est pas en regardant la lumière qu’on devient lumineux, mais en plongeant dans son obscurité. Mais ce travail est souvent désagréable, donc impopulaire ». À l’aune du présent texte, je peux remplacer « travail » par « combat ».

Carl Gustav Jung parlait de « l’intégration de l’ombre » comme passage obligé vers la Totalité de l’Être. Ce que je rejette chez l’autre, ce que je condamne, est souvent ce que je refuse d’admettre en moi. Je sais que ce passage n’est plus un passage « obligé » et, en même temps, pour beaucoup d’Êtres, c’est encore, sans jugement, un cheminement à faire, une prise de conscience à accepter.

Dans mon enfance, mon adolescence, on m’a appris à classer le monde en « bien » et « mal », en « héros » et « méchants ». L’idée d’un ennemi extérieur me rassurait. Il était la cause de mes problèmes, l’obstacle à abattre. Mais qu’en est-il si l’ennemi n’existe pas en dehors de moi ?

Si Donald Trump peut représenter une figure de rejet, qu’est-ce que ceci signifie sur ma propre perception de l’autorité, du pouvoir, de la liberté ? Suis-je si différent de lui dans mes doutes, mes instincts, mes désirs de reconnaissance ? Je réalise que la peur est un prisme. Elle fait voir le monde sous une forme réduite, distordue. Pourtant, elle est aussi une invitation qui est celle de l’affronter, de la comprendre, de l’accepter et de la « libérer ».

Si Donald Trump est un symbole de la peur pour certain.e.s. Il est aussi, sans le savoir nécessairement, un maître inattendu. Car ce qui me fait peur m’apprend où je suis encore attaché, où je refuse de voir, où je n’accepte pas. En traversant cette peur, en l’accueillant, en la libérant, je peux commencer à percevoir un espace plus grand, une conscience plus vaste.

L’erreur serait de croire que ce moment de l’Histoire est, uniquement, politique. Il est spirituel. Je dirai même hautement spirituel. Il révèle l’état de l’Humanité, il montre les tensions non résolues, les batailles intérieures. Il est facile d’accuser un individu, un système, une époque. Il est plus difficile d’y voir une invitation à l’introspection. Je sais que mon pouvoir n’est pas de lutter contre le chaos, c’est plutôt d’y trouver un centre. De transcender les oppositions, d’embrasser l’idée que tout événement est une opportunité d’expansion.

Donald Trump n’est pas le problème. Il est un symbole, une manifestation, une « petite main » d’un mouvement plus profond. Je peux choisir de rester dans la peur, dans la colère, dans l’illusion de la division comme je peux choisir de voir différemment.

C’est une question d’évolution. Un changement de regard. Un autre point de vue. Une ouverture à ce qui, hier encore, semblait inconcevable. Et, dans cette ouverture, je trouve ma propre transformation.

Ainsi, comme je l’ai écrit dans le texte « Le Dernier Jugement » : Que ma JOIE demeure. Ce mot qui me dit : « J’Oeuvre Intérieurement et Extérieurement ».

(Mon Essence Spirituelle)
(Michaël « Shichea » RENARD (20250203-1))
(Illustration : Flux (Pro) suivant mes directives)
(Musique lors de l’écriture : Le Silence & Valley of Salt – 2025 – Voice of One Crying in the Wilderness – The Story of John the Baptist)

1️⃣ :  dans les textes « Les Brumes des Souvenirs » et « Dieu aime-t-il le Jazz ? », j’avais écrit que Le mot « chaos » vient du grec « khaos » signifiant « abîme », « vide », « désordre ». Dans la mythologie grecque, le « Chaos » était considéré comme la première divinité primordiale. Cette divinité représentait le vide à partir duquel l’univers a émergé ;

2️⃣ :  Héraclite d’Éphèse est un des principaux philosophes grecs dits présocratiques. Nous ne savons presque rien de sa vie, sinon qu’il vécut à Éphèse vers 500 av. J.-C., et ne connaissons sa philosophie qu’à travers les auteurs anciens qui, du IVe siècle av. J.-C. jusqu’à la fin de l’Antiquité, l’ont cité et notamment les plus éminents d’entre eux, Platon, Aristote, Lucrèce, Sénèque, Plutarque, Sextus Empiricus, Marc-Aurèle, Diogène Laërce, Plotin et d’autres (merci Wikipedia) ;

3️⃣ :  voir le texte « Les mots sont des passerelles, des ponts autant que des gouffres et des abîmes » ;

4️⃣ :  La violence symbolique est une notion qui désigne une forme de violence peu visible et non physique, qui s’exprime à travers les normes sociales et qui s’observe dans les structures sociales. Cette violence symbolique touche les dominés de façon à s’inscrire en eux, et à les amener à juger légitime une domination sociale donnée. Elle se manifeste par une imposition des normes du groupe dominant sur celles du groupe subordonné. La violence symbolique peut se manifester dans différents domaines sociaux tels que la nationalité, le genre, le niveau d’études, l’âge ou les pratiques culturelles. La notion est d’abord proposée par Pierre Bourdieu, un sociologue français influent du XXe siècle, et qui apparaît dans ses œuvres dès les années 1970, puis reprise ensuite (merci Wikipedia) ;

5️⃣ :  Carl Gustav Jung est un médecin psychiatre suisse né le 26 juillet 1875 à Kesswil (canton de Thurgovie) et mort le 6 juin 1961 (à 85 ans) à Küsnacht (canton de Zurich), en Suisse. Fondateur de la psychologie analytique et penseur influent, il est l’auteur de nombreux ouvrages. Son œuvre est liée aux débuts de la psychanalyse de Sigmund Freud, dont il a été l’un des premiers disciples et dont il se sépare par la suite en raison de divergences théoriques et personnelles (merci Wikipedia).

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