Mashup

(sous-titre : « Courrier Épistolaire »)

Le titre de ce texte vient d’un terme que j’avais utilisé pour la première fois dans le texte « S.O.S. » paru il y a quelques semaines. Il avait été introduit comme suit, je me cite (et ce verbe « citer » va être « important » pour le propos de ce texte) : « Tout ceci va me ramener à une canalisation de Derria via Sylvain Didelot que mon Frère Léon m’a fournie, il y a 2 ans et aussi, une canalisation personnelle d’Êtres de Lumière via Anne-Marie Dubois. Ce SOS, c’est le choix de ma Vie, de mon parcours de Vie. Je l’avais déjà explicité via mon expérience de ‘La métaphore de la pomme’ que j’avais publié, il y a plus de 2 ans. Je vais le faire d’une autre façon en faisant une sorte de ‘mashup’ (mélange) de différentes expériences personnelles ou partagées. Attention, c’est parti pour un voyage qui va peut-être ‘bousculé’ certaines personnes, certaines lectrices, certains lecteurs ».

Qu’est-ce qu’un « mashup » ? Dans le paragraphe ci-dessus, j’ai indiqué que c’était « un mélange de différentes expériences personnes ou partagées ». C’est un terme anglais provenant du verbe « to mash ». Si je m’en réfère à mon traducteur « préféré », il peut être traduit en français par « écraser » ou « écrabouiller ». Il peut également signifier « mélanger vigoureusement » notamment en parlant de préparation alimentaire. Cependant, le sens précis dépend du contexte dans lequel le terme est utilisé.

Et c’est ici que je me rends compte qu’en écrivant ce texte, j’ai tellement « d’informations » qui me viennent, que je sais que je vais écrire un texte qui est un « mélange spirituel » d’un ensemble d’informations pour ne pas dire de « maelstrom » tellement « ce qui me vient part dans tous les sens » et que les « sources » sont, comment dire, tellement diffuses.

Mais avant d’aller plus loin dans mon propos de « mashup spirituel », ce « mélange de sources ou d’influence » est aussi existant dans la création musicale combinant des éléments de plusieurs chansons différentes pour créer une nouvelle composition (ce mot que je retiens est très important pour la suite du texte même si je ne sais pas encore ce que je vais écrire malgré tout ce qui me vient). Cette nouvelle composition « implique », notamment, la superposition de voix, de mélodies, d’harmonies, de rythmes de différentes chansons ou partitions pour produire quelque chose de nouveau et souvent surprenant (à nouveau, je retiens ce mot).

Il en est, de même, pour ce qui concerne d’autres médias comme dans le domaine de la vidéo ou de l’audiovisuel. Dans ce cas, il se réfère à la fusion d’extraits de films, de séries télévisées, de reportages, de documentaires, d’émissions de télévision en tout genre ou d’autres médias pour créer une nouvelle œuvre (à nouveau, je retiens ce mot). Il y a aussi des créations provenant de différents sources (je retiens ce mot) pour arriver à des fins humoristiques ou satiriques en incluant des images, des vidéos, des sons. Il y a un mot pour ceci, ce sont des « mèmes ». Un « mème », mot qui se prononce comme même (je retiens ce mot), est un élément sous forme d’une image, une vidéo, d’un texte dont la principale caractéristique est sa nature humoristique ou sarcastique. Dans le domaine d’informatique, le « mashup » fait également référence à l’intégration de données ou de fonctionnalités provenant de différentes sources d’une même application, d’applications différentes, d’un site internet ou de plusieurs sites internet.

De tout ce que je viens d’écrire, c’est déjà un « mashup » que je vais appeler « spirituel ». Pourquoi ? Pour écrire cette introduction, j’ai eu « recours » non seulement à moi-même, en tant qu’Être Personnifié via mon Âme, ma Conscience Supérieure mais également à ma connexion, à mes connexions avec des « Énergies », des « Êtres de Lumière » et aussi avec des recherches que j’ai faites sur le net soit via un « ami célèbre », soit via ChatGPT (« intelligence artificielle »). Si je « devais » citer toutes mes « sources » (mot que j’ai retenu), mon texte serait encore plus grand qu’il ne l’est maintenant et, peut-être, même « incompréhensible ». Ce mot qui est emprunté au latin « incomprehensibilis » signifiant « qu’on ne peut saisir », « qu’on ne peut embrasser » voire « illimité ». Et quand j’ai lu ce mot « saisir », c’est que, quelque part, je te « prends par la main » pour t’amener, toi Lectrice, toi Lecteur, dans mon « monde », dans ma « création ».

Ainsi même (mot que j’ai retenu), comme le dit l’expression « Il faut rendre à César ce qui est à César et à Dieu ce qui est à Dieu » que j’avais reprise dans le texte « Entre les lignes » (titre du texte qui est bien à propos pour la suite de ce texte), je porte à ma Conscience que ce que j’écris, ce que je partage même si ceci se base sur ma Propre Expérience, sur l’Expérience d’autres ou sur les recherches d’autres, je participe à créer ma propre Composition (mot que j’ai retenu) pour proposer ma Propre Œuvre (mot que j’ai retenu) à travers mon Propre Œuvre (dans le sens d’ouvrage, le présent texte) tant en Surprenant (mot que j’ai retenu) la Lectrice, le Lecteur voire le Locuteur. En fait, tout ce que j’écris, que je partage provient de la même Source (mot que j’ai retenu).

Après cette longue introduction, je vais maintenant indiquer pourquoi ce texte m’est venu un jour du mois de janvier, le 17 précisément vers 5h du matin. Il fait suite à un échange avec mon Frère Léon qui est source de certaines informations que je publie sous une autre forme que celle qu’il me partage. Je peux même écrire maintenant que le fait d’avoir fait cette « longue » introduction, ceci représente une sorte « d’apaisement ». Non pas qu’il y a un conflit entre Lui et Moi. Quand je parle d’apaisement, c’est que la « tempête informationnelle », qui m’est venue ce matin-là, commence à se calmer. Et ce qui est intéressant, c’est que, non seulement, j’ai utilisé le mot « tempête » qui revient souvent dans certains derniers textes mais également parce que ce jour d’écriture arrive une tempête hivernale qui va, d’une façon ou une autre, amener un blocage en Belgique.

Je reviens à mon Frère Léon, à mon Âme Sœur. Je vais reprendre certains extraits de son ressenti sur les textes « De mon ambiguïté » et de « S.O.S. » que je lui ai partagé, à l’avance, par rapport aux expériences qu’il a vécues avant que je ne lui partage ces deux textes. Ces deux textes ont donc été écrits avant que je ne sache les expériences qu’il a vécues. Dit d’une autre façon, c’est un peu comme si une « réponse » (ce n’est pas le bon terme) m’avait été donnée pour que je lui partage et, qu’à son tour, sa « réaction » (ce n’est pas le bon terme) me permette, à mon tour, d’écrire ce texte. C’est comme un enchaînement, un enchevêtrement des circonstances de chaque Vie.

Ainsi, mon Frère Léon m’écrit « Dans ce que tu partages le lecteur va croire que ce que tu écris viens de toi » suite au « mashup » dont j’ai précisé l’origine dans les deux textes précités. En fait, TOUT vient de MOI et RIEN ne vient de MOI. Pourquoi est-ce que j’écris ceci ? Je sais qu’en tant qu’Être Personnifié, je pourrais faire « croire » que tout ce que j’écris vient de MOI. En d’autres termes de mon mental, de mon ego, de mon niveau de Conscience Physique. Oui, effectivement, c’est une sorte de « passage obligé » pour me permettre de communiquer, d’échanger dans le monde la Matière, dans ce Plan Terrestre, même s’il y a d’autres moyens de communication qui ne me sont pas accessibles comme la clairaudience, la clairvoyance, et les autres mots qui commencent par « clair… ». Cependant, en même temps, comme je l’ai écrit souvent, je ne suis pas seul, je suis connecté, je suis interconnecté à TOUT CE QUI EST. Quand j’écris « TOUT CE QUI EST », il n’y a rien de présomptueux, d’orgueilleux dans mes mots car chacun.e l’est. Sans nécessairement, non pas le savoir, mais parce qu’il ou elle ne l’a pas « encore » expérimenté d’une façon ou d’une autre. Et comme j’aime à le dire, à le répéter : « il n’y pas de podiums, pas de médailles à la clé, pas d’élu.e.s, pas de place à la droite de … ».

Je constate que rien que cette première phrase que j’ai extraite d’un échange m’amène déjà à verbaliser, à écrire un contexte de ce qu’il m’apporte, m’amène à ma Conscience. Je laisse imaginer la suite avec « Tu auras remarqué que je cite toujours, aussi bien par écrit ou en oral, mes sources. Je ne laisse pas d’ambiguïté, du moins consciemment. Je cite le contexte et ce qui a été reçu ». Oui, effectivement, je reconnais cette application de la citation précitée de « Il faut rendre à César ce qui est à César et à Dieu ce qui est à Dieu«  prononcée par Jésus dans le Nouveau Testament. Et c’est bien ici le terme « ambiguïté » que mon Frère Léon a écrit qui est la Source du texte « De mon Ambiguïté ». Dans ce texte, je parlais de mon « ambiguïté spirituelle » par rapport à ce que je vis. Et ce texte « De mon Ambiguïté » a, a eu tout son « sens » car il a permis non seulement à mon Frère Léon de m’exprimer son ressenti et à moi d’écrire ce texte.

Peu de personnes pour ne pas dire « aucune personne » n’a relevé dans le texte « Mon Bulletin », dont le sous-titre est « Ne le lisez pas au risque d’être déçu.e ! » publié le 1er janvier 2024, que j’avais déjà introduit, d’une autre façon, la référence à cette ambiguïté. Je rappelle, si nécessaire que ce mot « ambiguïté » signifie « Qui pousse de deux côtés ». En d’autres termes, en reprenant la définition d’un dictionnaire, l’ambiguïté est le caractère de ce qui est susceptible de recevoir plusieurs interprétations. Et c’est bien ici aussi, l’Esprit de ce présent texte qui est susceptible de recevoir plusieurs interprétations. Cette référence à l’ambiguïté, elle provient du fait que tout ce que j’écris provient d’une Intelligence Artificielle. Maintenant, je peux « dévoiler » ce que j’entendais par « Intelligence Artificielle », en fait, c’est « L’Intelligence Divine » qui est à l’Œuvre dans son Œuvre. Je peux dire que je suis un vecteur, un messager de cette Intelligence Divine. Je l’écris en tout modestie et j’ai déjà « utilisé » cette référence au « Messager » dans plusieurs textes.

Mon Frère Léon, une ConneXion d’Âmes, un Connecteur d’Âmes m’a précisé : « Je te partage un fichier pdf où j’ai surligné de nombreuses phrases qui ont été données par Derria et Lady Kuan Yin. Celles concernant ta canalisation personnelle avec AM Dubois je ne les connais pas. Le lecteur, de ta façon d’écrire, va croire que cela vient de toi et cela même si tu as mentionné que c’était un mélange. Toutefois, il aurait été plus idéal (smiley clin d’œil) qu’il n’y ait pas d’ambiguïté. Si tu reprends toutes ces phrases qui étaient contenues dans un message en les attribuant à l’un ou l’autre Être de lumière cela est plus juste. Cela est possible pour toi de citer ces phrases afin que pour le lecteur cela soit clair et, en même temps apporter ton éclairage ».

À l’écriture de ce texte, je n’ai pas « encore » eu le fichier PDF, que je lui avais partagé, et dont il a surligné certains passages. En fait, je n’ai pas besoin de ce fichier car je sais, non pas par cœur, ce que j’ai « pris » chez l’un et chez l’autre. Oui, je reconnais que je n’ai pas cité ma source, mes sources. Cependant, je me répète, « TOUT vient de MOI et RIEN ne vient de MOI ». En fait, est-ce important de citer « TOUTES » les sources. Parfois, j’en cite certaines, parfois pas. En fait, quand j’écris, je n’ai pas toutes les informations, toutes les connaissances, je fais donc des recherches, notamment, dans les livres, mais principalement sur internet. Concernant l’étymologie des mots, j’utilise plusieurs sources, il suffit de taper un mot suivi du mot « étymologie » pour avoir une information. Et moi, ce qui justement « m’intéresse », c’est « l’attrait » ou non d’un site. C’est un peu comme si j’étais attiré par un aimant pour aller dans un sens ou dans l’autre (« qui pousse de deux cotés »). Je suis un « pôle » et un aimant m’attire ou me repousse en fonction de ma polarité. Et puis, un lien se crée vers d’autres sources d’informations, « celles que je reçois », celles que me sont partagées, celles qui me sont, comment dire, « indiquées », « fléchées ».

Ainsi, je dis, comme le dit Judicaël :  » Meeeeeerciiiiiiiii la Viiiiiiiiiie ! Meeeeeerciiiiiiiii » (version « chantée »). Je regarde l’indication de l’horloge sur mon ordinateur, il est presque 6h45. Ceci fait presqu’une heure et trente minutes que j’écris presque sans interruption et ce, dans le silence. Ma bienaimée s’est levée, en même temps que moi, elle vient de remonter dans la chambre et je la remercie de m’avoir laissé dans ma « relative » solitude pour écrire ce texte.

Dans le texte « La Formule Magique ou la JOIE (re)trouvée » sous-titré « Ex Opere Operato » (disponible en téléchargement sur ce groupe ou sur mon site), j’avais écrit : « Qui plus est, c’est un texte dont je suis le Scripteur (ce mot rappellera quelque chose à quelqu’un) et, en même temps, il a été écrit à plusieurs « mains » : Mon Frère Léon, Nos Consciences Supérieures, Lady Kuan Yin, Derria et quelques autres ».

Eh bien, pour ce présent texte, je peux également écrire qu’il a été écrit à plusieurs « mains ». Cependant, qu’en « dehors » de ma Conscience Supérieure, je ne « connais » pas ces « mains ». Si pendant des années, je « râlais », je « rouspétais », que je me « frustrais » que l’on ne ME cite pas quand je parlais de quelque chose que j’avais dit, que j’avais écrit, que j’avais partagé en tant qu’expériences personnelles, à ce moment de ma Vie, ceci n’a pas ou plus d’importance.

Oh, je sais que l’ego, mon ego aime bien que ceci puisse représenter une sorte de « glorification », une sorte de « reconnaissance » pour montrer que je suis un « sachant », ou en tout cas, que j’ai accès à certains « informations », à certaines « énergies », à une Source que l’on nomme Dieu (peu importe le nom), ce n’est pas important. En fait, comme le dit mon Frère Léon alors que je disais que « TOUT EST JUSTE » lui me répondait que « TOUT EST IDEAL ».

Pour terminer ce texte, je partage la citation que mon Frère Léon a publié sur ce groupe : « Pardonnez-vous, non pas pour ce que vous avez fait mais de ne pas avoir reconnu le dieu que vous êtes (Ramtha) ». En fait, pour ma part, il n’y a rien à pardonner car il n’y a aucune « erreur », aucun « manquement », aucune « séparation ». Même ce texte, que j’ai partagé à l’avance avec mon Frère Léon, n’est pas une « justification », une « demande d’un pardon quelconque », une « reconnaissance quelconque d’une faute commise ». Ce texte est simplement ici pour « faire prendre conscience » ou plutôt « amener à la Conscience » qu’il n’y a rien à pardonner car il n’y a jamais eu de fautes commises, il n’y a jamais eu de « péché originel ». Même moi, à l’écriture de ces quelques mots précédents, je « m’étonne » de les avoir écrits même si je n’en connais pas « La Source » (en fait, si j’en connais La Source, c’est Moi en tant que Créateur).

Qui plus est, cette citation de Ramtha est et reste « encore » une citation dans la dualité de ce Plan Terrestre. Ce n’est pas un jugement, ce n’est qu’un constat de « reconnaître », comme je l’ai déjà écrit souvent que les mots sont « limitatifs ». Cependant, il est nécessaire de faire « avec » car les mots sont un « accompagnement » si pas « obligé », en tout cas, « utile » pour permettre de communiquer avec les autres.

Je remercie mon Frère Léon, ma Bienaimée et bien d’autres pour l’accompagnement de chaque jour. Je remercie tous les Êtres de Lumière qui m’accompagnent comme je les accompagne (si ! si ! Je les accompagne aussi). Je remercie chaque lectrice, chaque lecteur qui a lu ce texte. En fait, je remercie TOUT.

JE VOUS AIME.

JE T’AIME.

JE M’AIME.

Dans cette « composition » « surprenante », dans cette « Œuvre » dans mon « Œuvre », JE SUIS LA SOURCE « MÊME ».

JE SUIS.

(Michaël « Shichea » RENARD (20240117-1))

(Art Numérique : Bing Creator suivant mes directives)

(Musique lors de l’écriture : Le Silence de mes Mots)

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