S.O.S.
À peu près tout le monde a déjà entendu parler du SOS. Je ne vais pas parler ici d’un célèbre SOS chanté par le groupe Police dans la chanson « Message in a bottle » 1️⃣. Quoique ! Quoique ! Le refrain de la chanson dit : « J’enverrai un SOS au monde. J’espère que quelqu’un recevra mon message dans une bouteille ».
Alors, oui, j’envoie un « SOS » et, en même temps, celui-ci ne sera pas dans une bouteille même si comme le dit l’expression « je lance une bouteille à la mer ». Pourtant, cette expression figurée vient d’une pratique bien réelle qui a été employée par des naufragés. Il s’agissait de lancer une bouteille dans la mer avec un message dans l’espoir d’être secouru, d’être entendu. Entre le moment du lancement et de la réception par un « inconnu », il peut se passer bien des jours, des mois voire des années.
Cependant, lancer une bouteille à la mer, c’est aussi s’en remettre au « hasard ». C’est un peu comme jouer à pile ou face. Ainsi, quand elle arrive à bon port, c’est forcément magique. Oh, je sais que, maintenant, certaines personnes lancent réellement des bouteilles à la mer avec un petit message avec, généralement, leurs coordonnées pour celle ou celui qui la trouve leur envoie à leur tour un petit message. À la fin de la lecture de ce texte, peut-être, certain.e.s, parmi vous, m’enverront un « SOS ».
Quand j’étais enfant, il y avait un lâcher de ballons avec une carte et mes coordonnées. Quelle joie j’avais lorsqu’une personne me répondait. Et puis, souvent, il y avait un concours pour déterminer celle ou celui dont le ballon avait été le plus loin. Je reconnais que ce n’était pas très écologique et c’est pourquoi, à mon sens, cette pratique n’existe plus. Maintenant, il y a les réseaux sociaux, les podcasts, les vidéos.
Avant d’aller plus loin dans le propos de ce texte, je précise que SOS n’est pas l’acronyme de « Save Our Soul » (« Sauvez notre Âme ») or « Save Our Ship » (« Sauvez notre bâteau ») ou « Send out Succour » (« Envoyez des secours »). C’est tentant et pourtant ce n’est pas le cas. Cet acronyme n’a été introduit que bien après le code original.
Oui, « SOS » est un code, un code morse. « Morse ? ». Ceci n’a rien à voir le mammifère marin du même nom. C’est un code qui a été inventé au 18e siècle par Samuel Finley Breese Morse (scientifique américain). Ce code est un alphabet permettant de transmettre des messages via les moyens de l’époque à savoir le télégraphe. Il paraît que la paternité de ce code revient à son assistant Alfred Lewis Vail (machiniste et inventeur américain). Ce n’est ni le premier, ni le dernier dont l’invention a été attribuée à d’autres. Ainsi, si l’ampoule à incandescence est attribuée à Thomas Edison, l’inventeur initial est Joseph Swan (scientifique anglais). Thomas Edison a amélioré le procédé et a déposé un brevet, ce que Thomas Swan n’avait pas fait. D’ailleurs le « E » sur les modèles d’ampoules représenterait le « E » de « Edison ».
Bon je m’égare, Edgar. Dans beaucoup de films, on entend la douce musique de « SOS » qui donne « titititatatatititi ». C’est en fait 3 signes courts (ti), 3 signes longs (ta) et 3 signes courts (ti). Ces signes sont représentés sous la forme « • • • — — — • • • » sans pause entre chaque signe pour ne former, si je peux l’écrire ainsi, qu’un seul « mot ». Le morse c’est comme la musique, c’est une question d’Harmonie. En morse, « MICHAEL » (les trémas et les minuscules n’existent pas en morse) se compose comme suit : « —— •• —•—• •••• •— • •—•• ». Rien à voir pour la suite de ce texte et, en même temps, je trouvais ceci amusant. Si « SOS » est reconnu comme le signal de détresse par « excellence », ce n’est pas ce signal de détresse que le Titanic a envoyé, c’était celui « en vigueur » à l’époque : CQD (« —•—• ——•— —•• « ) qui signifie « Seek You Distress ». Ceci n’aurait, probablement, pas changé « grand-chose » à la tragédie du Titanic s’il avait utilisé le « SOS » (Qui sait !).
En fait le « titititatatatititi », très simple à utiliser, ne correspond à aucune lettre du morse. Par contre, la séparation en « tititi tatata tititi » donne, comme expliquer précédemment, « SOS » dont certain.e.s se souviennent en « Save Our Soul ».
J’ai constaté qu’il y avait d’autres signaux de détresse comme « MAYDAY » qui est une façon de dire « M’AIDER » de « Voulez-vous m’aider » ou comme « PAN PAN », si si, ceci vient du français « Panne ». Bon, allez, c’est terminé pour cette partie que je nommerai « culturelle ».
Ce qui m’a intéressé, c’est le « Save Our Soul ». Pourquoi ? Comme je l’ai écrit, la traduction est « Sauvez notre Âme ». Mais est-ce « Save our Soul » ou « Save our Souls » ? « Sauvez notre Âme » ou « Sauvez nos Âmes ». J’entends « Oui Mais là Michaël, tu joues sur les mots ». Effectivement, je joue sur les mots et c’est « volontaire ».
En fait, je vais formuler ceci autrement. Je comprends bien l’esprit de « Sauver notre Âme » ou « Sauvez nos Âmes » et, en même temps, ce qui m’a amené à écrire ce texte est une phrase de Dan Millman dans le livre « Le Guerrier Pacifique » que mon Frère Léon a repris dans son livre « Le Cancer Apprivoisé » (mis à disposition, gracieusement, au format électronique). Cette phrase dit : « La conscience n’est pas dans le corps; en fait, c’est le corps qui est dans la conscience ». Rien que cette phrase, comme je le dis souvent avec humour, pourrait faire l’objet d’une épreuve au baccalauréat.
Oui Mais ! Oui Mais ! Cette phrase est un extrait d’un échange plus conséquent et qui est, à mon sens, très « porteur ». L’échange est repris ci-dessous.
« Tu agis réellement comme si tu étais un esprit ou un je ne sais quoi de subtil à l’intérieur du corps ».
« Pour quelle raison souhaiterais-je agir de la sorte ? »
« Parce que la mort est ta plus grande peur et la survie ton besoin le plus profond. Tu aspires à l’Éternité. Par cette croyance illusoire que tu es cet esprit, ce mental ou cette âme, tu rajoutes une clause de fuite à ton contrat de mortel. En tant que mental tu pourras peut-être t’envoler hors de ton corps lorsqu’il mourra, hein ? »
« C’est une idée », accordai-je avec un sourire.
« Exactement, Dan, une idée, une pensée, pas plus réelle que l’ombre d’une ombre. La vérité, la voici : la conscience n’est pas dans le corps ; en fait, c’est le corps qui est dans la conscience. Et tu es cette conscience, et non pas ce fantôme de mental qui te trouble tant.
(…)
Tu possèdes déjà l’immortalité, mais pas de la manière dont tu l’imagines ou l’espères. Tu étais immortel avant d’être né et tu le seras encore longtemps après la disparition de ton corps. Le corps est la conscience ; il est immortel. Il change, c’est tout. Ce mental – tes croyances, ton histoire, ton identité personnelles – est le seul à être mortel; alors qui en a besoin ? ».
Comme dirait mon Frère Léon, c’est « WOW ! », c’est l’effet « WOW ! ». Soit dit en passant « WOW ! » est aussi le nom donné à un signal extraterrestre. Il fait référence à un événement survenu dans le cadre du programme SETI (Search for Extraterrestrial Intelligence) visant à détecter des signaux provenant d’une intelligence extraterrestre. Le 15 août 1977, Jerry R. Ehmann, travaillant sur le projet SETI à l’Ohio State University Radio Observatory, a repéré un signal radio extrêmement fort et inhabituel qui, non seulement, a duré environ 72 secondes mais qui ne s’est plus jamais reproduit depuis lors. La particularité de ce signal était son intensité et le fait qu’il semblait ne pas provenir de sources terrestres. Étonné par cette découverte, Jerry R. Ehman a encerclé les données imprimées par le radiotélescope et a écrit « Wow ! » à côté, d’où le nom du signal. Encore un petit moment culturel.
Ainsi, je reviens au propos de mon texte. « Michaël ! Que de digressions ! ». Oui, je sais et, en même temps, l’air de rien, elles servent mon propos. Si ! Si !.
La conscience est une « énigme » fascinante. Est-elle « logée » dans le cerveau, dans les cellules du corps ? Ainsi, d’après Dan Millman, la conscience n’est pas dans le corps, c’est le corps qui est dans la conscience. À titre informatif, « Le Guerrier Pacifique » est le premier livre de Dan Millman. C’est une fiction autobiographique fondée de façon libre sur ses souvenirs d’étudiant.
J’imagine ma conscience comme une toile d’araignée que je nommerai « cosmique ». Cette toile est tissée avec les fils de mes perceptions, de mes pensées, de mes émotions. Chaque battement de mon cœur, chaque respiration, chaque pas ne sont que de minuscules « particules » suspendues dans cette trame infinie. Mon corps, ce temple de chair et d’os, devient ainsi le théâtre éphémère où se joue la pièce de mon Existence. Et dans cette pièce, c’est la conscience qui en est le metteur en scène invisible.
Alors oui, je sais qu’il est tentant de croire que je suis prisonnier de ma chair, de mon corps, que mon Essence est contenue dans les frontières de ma peau. Et je suis en accord avec le fait que ma Conscience transcende mes limites anatomiques. Ma Conscience est, quelque part, l’observatrice silencieuse, le témoin de l’incessant ballet des particules composant l’Uni-vers.
Mon corps, avec ses intrications biologiques et ses réponses aux stimuli, devient une « marionnette » habilement manœuvrée par les ficelles de la Conscience. Je suis un voyageur dans l’Âme, et de l’Âme, naviguant à travers les océans de l’expérience humaine. Ceci me ramène à Pierre-Teilchard de Chardin (je ne vais pas réécrire ici ce qu’il a dit sur l’Expérience Humaine). Chaque sourire, chaque larme, chaque étreinte est une manifestation de ma Conscience explorant le monde à travers les sens, l’essence de mon Corps.
Dans cette perspective, ma vie prend une teinte plus profonde, certain.e.s diraient « prend une autre tournure ». Pour moi, c’est plus une dimension transcendante. Mon corps devient mon vaisseau, et ma Conscience, le capitaine naviguant à travers les mystères de mon Existence. Ou plutôt que « mystères », ce serait « expériences ». Je suis bien plus que la somme de mes cellules, de mes organes. Je suis constitué des fragments de l’Infini. Une sorte d’échos cosmiques se répercutant à travers le prisme de ma Conscience.
Alors, j’entends la question : « Mais Michaël, pourquoi as-tu intitulé ce texte ‘SOS’ ? Y a-t-il un appel au secours ? ». Ce qui m’a « parlé » ce n’est pas tant le « SOS », c’est « Save our Soul(s) ». Pourquoi ?
Tout ceci va me ramener à une canalisation de Derria via Sylvain Didelot que mon Frère Léon m’a fournie, il y a 2 ans et aussi, une canalisation personnelle d’Êtres de Lumière via Anne-Marie Dubois. Ce « SOS », c’est le choix de ma Vie, de mon parcours de Vie. Je l’avais déjà explicité via mon expérience de « La métaphore de la pomme » 2️⃣ que j’avais publié, il y a plus de 2 ans. Je vais le faire d’une autre façon en faisant une sorte de « mashup » (mélange) de différentes expériences personnelles ou partagées. Attention, c’est parti pour un voyage qui va peut-être « bousculé » certaines personnes, certaines lectrices, certains lecteurs.
Le « SOS », c’est quelque part, retrouver sa Propre Maîtrise dans le sens d’Être son Propre Maître. C’est le fait d’amener à la Conscience que JE SUIS le Capitaine du Bateau (d’où la référence maritime du « SOS ») et non un des « galériens » du bateau. Dit d’une autre façon, JE SUIS le Maître et non plus le Disciple. Dit d’une autre façon, c’est d’écrire son Propre Scénario et d’entrer dans le « Je Choisis çà ». D’entrer comme dans « La Métaphore de la Pomme » dans le « JE CHOISIS ce qu’il y a de MIEUX pour MOI. Je choisis ma VIE. Je choisis d’ÊTRE. JE SUIS. JE CHOISIS ».
Ainsi « JE CHOISIS » et non l’Univers choisit comme je le lis souvent dans certaines publications sur Facebook ou ailleurs indiquant que « L’Univers a … pour toi » ou « L’Univers fait … pour toi ». Même si, effectivement, c’était le cas avant, ceci n’est plus nécessaire dans l’époque actuelle. Petit à petit, c’est reprendre la maîtrise de me dire : « JE CHOISIS EN CONSCIENCE » (est-ce que le lien, la connexion est faite avec l’extrait du « Guerrier Pacifique » ?). Je choisis, en Conscience, d’être Heureux comme je choisis, en Conscience, d’être Malheureux. Je choisis, en Conscience, de vivre telle ou telle expérience tout en sachant que JE SUIS le Maître de la situation, de l’expérience. Ceci ne veut pas nécessairement dire que j’ai la solution à l’expérience que j’ai choisie. Ceci veut « simplement » dire que je suis bien le Scénariste et que je prends Conscience d’Être le Scénariste. Et c’est bien aussi ce que j’ai reçu comme information, c’est que la Conscience Supérieure (le Moi Supérieur) laisse, de plus en plus, de « libertés » pour (re)devenir le Scénariste de sa Propre Incarnation. C’est aussi le fait d’avoir expérimenté le changement de lignes temporelles 3️⃣.
Ainsi, par exemple, si quelqu’un dit « Je veux guérir », ce message n’est pas entendu. « Quoi Michaël ? Tu dis que ce message n’est pas entendu. Ce n’est pas possible ». En fait, il n’est pas audible. Par contre, si je dis « Je veux guérir mon Monde », c’est déjà un peu plus audible. Quelle serait la bonne « formulation » ? Et si j’essayais avec « Je souhaite guérir l’intégralité des circonstances qui m’entourent ». Cette « formulation » n’est-elle pas plus entendue car JE SUIS Partie Intégrante des circonstances qui m’entourent.
Alors, c’est le moment de « s’accrocher » car certains bateaux vont, peut-être, tangués.
Si je dis : « Je suis le corps », je vais être malade. Par contre, si je dis : « JE SUIS LA VIE DANS CE CORPS », je ne peux plus être malade. Mon Corps va être obligé de guérir. Pourquoi ? Parce qu’il n’y aura plus d’identification unique, unique dans le sens du Corps, mais bien identification multiple, dans le sens où il y aura une identification à chaque personne, chaque objet, chaque plante, chaque caillou 4️⃣ que je vais rencontrer dans les expériences que J’AI CHOISIES.
Dit d’une autre façon, JE SUIS L’ÊTRE, mon Propre Créateur, ayant créé tout mon environnement, chaque interaction avec tout ce qui m’entoure. Je l’avais déjà abordé dans la méditation de la bulle de savon 5️⃣. J’imagine un flot, un maelstrom de bulles de savon. Ces bulles s’agglomèrent les unes aux autres. Elles sont toutes indépendantes et, en même temps, elles se touchent à différents endroits à leur surface. Je suis ainsi dans ma propre bulle et, en même temps, comme ma bulle touche d’autres bulles qui, elles-mêmes, touchent d’autres bulles, je suis en interaction avec toutes les bulles. C’est ce que je nommerai les « circonstances communes ». Tout en sachant que, dans cette interaction, ma bulle, elle est entière. Il n’y a pas une bulle dans une autre bulle. Si c’était le cas, ce serait comme une « possession » mais c’est un autre sujet.
Ainsi, j’ai toute la maîtrise de modifier ma bulle. La bulle, elle est complète. Dit d’une autre façon, la bulle, c’est aussi bien la « membrane » la constituant que l’air, l’espace, le monde qui est à l’intérieur. Ainsi, en disant que la Conscience n’est pas dans le Corps mais que le Corps est dans la Conscience, j’ai la capacité de dire que « JE SUIS LA VIE ». En disant « JE SUIS LA VIE », je me désidentifie du Corps. Et en me désidentifiant du Corps, tout ce qui est appelé « maladie » finit par sortir du Corps. En fait, ce sont des informations qui sont devenues inutiles. Plus je suis dans la capacité d’accepter que je ne suis pas que le Corps, plus les maladies vont s’estomper puis disparaître. Plus ces informations vont se dissoudre dans un ensemble tellement vaste, tellement immense qu’il n’y aura plus d’impacts sur le Corps, sur l’Identification à ce Corps.
Passer par cette phase de désidentification va amener à des questionnements. « Je ne sais pas qui JE SUIS » puis « Je ne sais pas où JE VAIS » puis « Je ne sais pas ce que JE FAIS ». Ces « JE SUIS », « JE VAIS », « JE FAIS », ceci reste, comment dire, une réaction égotique, une résistance de l’ego.
En vérité, c’est que « JE SUIS LA VIE, JE SUIS CE QUI TRAVERSE MON CORPS ». Et rendre mon Corps à la Vie, c’est le rendre à MOI-MÊME (MOI-M’AIME), le rendre à ce que « JE SUIS ». Je rappelle la phrase que j’ai déjà souvent écrite : « Je ne suis pas tout le temps heureux et, en même temps, JE SUIS dans LA JOIE tous les jours ». Je précisais que c’était un ÉTAT D’ÊTRE que je ne sais pas expliquer car c’est mon expérience. Eh bien, cette joie, MA JOIE me permet de me désidentifier.
Je vais reprendre, d’une autre façon, l’expérience que j’ai vécue dans les bois à Orval. Dans les bois, j’ai été en connexion avec tout mon environnement, j’étais l’environnement. J’étais le vent, les arbres, les feuilles, les brins d’herbe, les rayons du soleil, les parfums de l’automne, j’étais Désidentifié. J’étais parfaitement bien dans cet état que certain.e.s appellent « Nirvana » (rien à voir avec le groupe « grunge »). Un état où il n’y a plus de désirs uniquement une béatitude. En fait, sans le savoir à l’époque, j’étais dans l’intégralité de l’expérience qui se passait. Et puis, après, je suis « revenu » dans mon Corps.
Mais, en fait, qu’est-ce qui est revenu dans mon Corps ? Ce qui est revenu, c’est ma Conscience, mon Identification. Ce que j’ai vécu, c’est une expansion de Conscience, une expansion de l’Identification. Vivre une expansion de Conscience, ce n’est pas atteindre les « hautes sphères », le « haut astral » mais c’est INTÉGRER ces « hautes sphères ». Cette INTÉGRATION c’est une prise de Conscience.
Même si j’ai l’impression de ne pas entendre, de ne pas comprendre, même si j’ai l’impression qu’aucun renseignement ne m’est donné, JE SUIS l’Ensemble de mon Expérience. Si j’ai l’impression que mon Expérience ne me « parle » pas, c’est tout simplement parce que je commence à comprendre que JE SUIS L’EXPÉRIENCE. Je suis autant « l’Expérimentateur » que « l’Expérimenté ». Je suis autant le « Créateur » que le « Créé ». En d’autres termes, JE SUIS l’EXPERIENCE dans son INTEGRALITE comme dans l’exemple de la bulle de savon.
Dit d’une autre façon, JE SUIS L’ESSENCE DE CELUI QUI PARLE et JE SUIS L’ESSENCE DE CELUI QUI ME PARLE. Plus j’intègre l’idée d’ÊTRE MON PROPRE GUIDE que je « contacte », plus le contact est facile avec les autres Guides.
Ainsi, pour terminer ce texte intitulé « SOS », il n’est plus nécessaire de lancer des « SOS » à des GUIDES car JE SUIS AUTANT LES GUIDES QUE MON PROPRE GUIDE.
(Michaël « Shichea » RENARD (20240112-1))
(Art Numérique : Bing Creator suivant mes directives)
(Musique lors de l’écriture : Ellesmere – 2024 – Stranger Skies)
P.S. : En écrivant, je me suis désidentifié en étant CELUI QUI ECRIVAIT et CELUI QUI LISAIT CE QUE J’ECRIVAIS
1️⃣ : voir le texte « Message in a Bottle »
2️⃣ : voir le texte « La Métaphore de la Pomme »
3️⃣ : voir le texte « La Trame Existentielle »
4️⃣ : voir le texte « Un caillou est un caillou »
5️⃣ : voir le texte « Je suis une bulle de savon »

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