Réponse de mon Frère Léon suite à la publication du texte « Acouphène »
(sous-titre : Relation Épistolaire)
Comme le titre de ce texte l’indique, ce texte va reprendre la réponse de mon Frère Léon suite à la publication du texte « Acouphène ». Sa réponse sera indiquée par la partie en italique dans le présent texte. La réponse, je l’ai adaptée sans en perdre, comme le dit la locution de Rabelais, la « substantifique moelle ». Cette locution qui consiste à retenir de quelque chose, ce qu’il y a de meilleur, de plus précieux, de plus profond voire de plus transcendant. Et comme je sais qu’il sait que j’allais écrire un texte sans en connaître la teneur « complète », je le remercie de la Confiance qu’il me donne dans cette écriture qu’il va découvrir comme chaque lectrice, chaque lecteur.
Cependant, avant d’aller plus loin dans mon propos, je vais expliciter le sous-titre « Relationf Épistolaire ». Et quoi de mieux que de partir de l’étymologie et de faire un peu d’histoires. Les informations historiques sont un assemblage de recherches que j’ai faites le matin de l’écriture de ce texte. Comme une sorte de « mashup » (mélange) de différentes sources. Ce terme « mashup » qui est utilisé dans des textes à venir 1️⃣.
Tout d’abord, sans surprise, en tout cas je le sais pour celles et ceux qui me lisent, au quotidien, un peu de latin. Le mot « épistolaire » vient du latin « epistolaris », issu du latin « epistola », emprunté au grec « epistolé » signifiant « lettre ». En même temps, « epistola » a donné également le mot « épître » signifiant également « lettre ».
Dans l’Antiquité, les lettres manuscrites permettaient les échanges entre les philosophes, les hommes politiques, les couples, les amis et probablement les amants. En tout cas, c’était « accessible » pour toutes personnes sachant écrire et qui pouvaient avoir accès à un messager.
Au Moyen-Âge, les lettres étaient aussi bien utilisées pour la communication officielle entre rois, nobles et membres de la cour que pour des échanges entre savants, sachants ainsi que pour les couples légitimes et les amants illégitimes.
À la Renaissance, il y a eu une augmentation importante de la correspondance suite au développement de l’éducation et de la diffusion de la connaissance. Les échanges permettaient de discuter des idées, des créations artistiques, philosophiques, scientifiques voire religieuses.
Avec l’avènement de l’imprimerie (Merci « Johannes Gensfleisch zur Laden zum Gutenberg », résumé en « Gutenberg », associé Johann Fust et Peter Schöffer) et l’augmentation de la connaissance via l’alphabétisation, la correspondance écrite est devenue plus répandue parmi les classes sociales autre que la « haute société ».
Ainsi chemin faisant, du messager à pied Philippidès, qui aurait parcouru la distance de Marathon à Athènes pour annoncer la victoire des Grecs contre les Perses (490 avant J.C.), en utilisant le langage oral, les découvertes de chaque époque, a permis via l’écriture (3500 avant J.C., premières tablettes cunéiformes), via les messagers et courriers, via les papyrus et les parchemins, via l’invention du papier (200 avant J.C.), via l’imprimerie déjà citée (1440), via le télégraphe 2️⃣, via le téléphone (1876), via la radio et la télévision, via internet et le courrier électronique, via le téléphone mobile et les smartphones et puis, pour terminer, via les réseaux sociaux et les messageries instantanées.
Après cette introduction historique, mon Frère Léon et moi avons des échanges épistolaires qui n’appartiennent qu’à chacun. Ces échanges se font généralement par l’application « messenger » et, rarement, par l’application « whatsapp ». Et cette semaine écoulée, il y a eu quelques échanges sur des sujets divers qui nous concernent tous les deux à travers nos propres expériences. Cependant, suite à la parution du texte « Acouphène », mon Frère Léon m’a proposé de publier un commentaire sur le texte publié. J’ai choisi, plutôt que d’en faire un commentaire, que peu de personnes liront, en faire ce présent texte.
Voici la réponse de mon Frère Léon dans nos échanges épistolaires. Peut-être complétera-t-il son propos en commentaire ou dans une publication personnelle. Qui sait !
Dans le texte « Acouphène » que tu as publié hier, tu te poses la question « Est-il nécessaire de revivre l’expérience vécue dans cette conférence ? ». Je n’ai pas la réponse. « Me serait-il nécessaire de revivre tout ce qui était là comme la salle, la lumière, la chaleur, l’ambiance, les personnes présentes, en fait, tout l’environnement (voir le texte ‘L’Homme et l’Environnement’) » ?.
Je vais essayer de répondre, toutefois cela risque d’être peu « compréhensible » aux lectrices, aux lecteurs qui n’ont pas nécessairement connaissance de ce que je vais partager.
En 1990, mon livre « Le Cancer Apprivoisé » 3️⃣ fut le premier livre proposé en librairie mentionnant les travaux de plusieurs novateurs dans le domaine des causes de la maladie. Heureusement, depuis ces travaux, de très nombreux livres ont été publiés. Je vais donc grandement résumé. Ainsi, si vous souhaitez en savoir plus, il existe plusieurs livres sur ces causes de la maladie qui sont proposés aujourd’hui en librairie (NDM 4️⃣ : Le livre « Le Grand Dictionnaire des Malaises et des Maladies » de Jacques Martel en fait partie, une édition augmentée et révisée est parue récemment).
Dans le passé, selon mes expériences professionnelles, je répondais : « Les nombreux résultats obtenus avec les patients étaient très souvent reliés à un événement traumatisant devenu inconscient (le programmant) qui était activé par un événement avec la même ‘tonalité’ (le déclenchant) ». Dans l’énergie, ceci fonctionne comme les diapasons.
Le conflit programmant est relié à un choc traumatique imprévisible (découverte de Dr Ryke Geerd Hamer) qui est vécu en inhibition de l’action (Henri Laborit, NDM : citation de Henri Laborit : « Confronté à une épreuve, l’homme ne dispose que de trois choix : 1) combattre ; 2) ne rien faire ; 3) fuir »).
Au fur et à mesure des années, ma perception de l’origine du conflit programmant inconscient changea progressivement : adolescence, petite enfance, projet-sens (période de 18 mois précédant et incluant la naissance), généalogie, vies antérieures, transincarnations 5️⃣.
Aujourd’hui, je dirais qu’il n’est absolument pas nécessaire de revivre ni retrouver l’évènement déclenchant. L’événement déclenchant est toujours à l’origine du déclenchement d’un symptôme même si la majorité des individus l’ignore. Ainsi de nombreux « malades » solutionnent souvent inconsciemment ce type de conflit et permettent ainsi au corps, avec un accompagnement médical dans certains cas, de se « guérir ».
Dans de très nombreux cas la résolution du conflit génère des symptômes. Ceci est la partie difficile à comprendre et, dans le cadre de ce groupe, je ne peux l’expliquer sans devoir informer de certaines données qui sont, la plupart du temps inconnues par les différentes médecines. (Voir « Le cancer apprivoisé » et sa biographie. Me (Léon) le demander en MP (Message Privé) si nécessaire).
Quand le conflit programmant est toujours présent, il est toujours possible qu’un nouveau conflit déclenchant se présente et alors il y a ce qui s’appelle une rechute, une réactivation du symptôme. Dans ce cas, retrouver le conflit programmant est important.
Pour éviter qu’un conflit déclenchant active un conflit programmant, il est nécessaire de retrouver ce dernier. Après cette découverte, non pas mentale mais revécue, le corps va créer ce qu’il lui est possible comme aménagement et réparation selon l’état de l’organisme.
Dans ce groupe, je souhaite partager ce que j’ai découvert au cours des dernières années.
Il existe divers conflits programmants. Je vais prendre une image. Ceux que j’associe à une branche de l’arbre, au tronc ou aux racines. Selon la grosseur et la longueur de la branche, du tronc et des racines le conflit sera plus ou moins important. Il est plus facile de découvrir le conflit programmant d’une petite branche que d’une grosse branche. Par contre, cela sera déjà plus difficile pour un tronc et des racines.
Les branches concernent les identifications à des « objets » d’amour (Dr Carl Simonton). Le tronc de l’arbre symbolise l’identité (concerne la manière dont la personne elle-même se définit et se reconnaît) d’une personne. Les racines symbolisent l’identité d’une famille.
Ainsi, il est plus facile de se « libérer » d’un « objet » d’amour, comme, par exemple, une perte financière, une perte ou destruction d’un objet, une relation qui se termine, … .
Si le conflit concerne votre identité à laquelle vous êtes identifié il est plus difficile d’accepter de s’en « libérer ». Il en est, de même, si vous êtes identifié à votre famille.
Comme le nom du groupe concerne la spiritualité, il y a ce que j’appelle les vrais miracles. C’est-à-dire qu’à un moment, le disque dur de la mémoire où se trouve enregistrée le conflit programmant est remis à zéro. À cet instant précis la « maladie » associée aux deux conflits se termine et il n’y a pas d’inconvénients pendant la phase de résolution du conflit.
Dans la réponse, j’ai souligné deux mots : « Mentale » et « Revécue ». Ces mots sont importants. La réparation du corps pour être en « santé parfaite » 6️⃣. En fait, j’ai moi-même longtemps « cru » que faire une sorte de recherche de l’historique de ce qui a pu créer le conflit programmant me permettrait de « résoudre » mes problèmes de santé. Cette recherche de l’historique reste, principalement, dans mon « cas », une recherche « mentale ». Un peu comme si je plongeais dans mon parcours de Vie à la recherche d’une perle, d’un artefact me permettant d’ouvrir la porte vers la résolution de ce conflit. Et dans mon cas, c’est plus qu’une perle à découvrir. Il est donc nécessaire de « revivre » le conflit programmant. Et dans cette « revivance », il est, à mon sens, nécessaire d’être accompagné. En effet, pour terminer ce texte, je vais reprendre la citation de Carl Gustav Jung qui est à l’origine de la première publication dans ce groupe : « Ce n’est pas en regardant la lumière qu’on devient lumineux, mais en plongeant dans son obscurité. Mais ce travail est souvent désagréable, donc impopulaire ».
(Auteurs : Léon RENARD (20240119) & Michaël « Shichea » RENARD (20240120-1))
(Art Numérique : Bing Creator suivant mes directives)
(Musique lors de l’écriture : A Secret River – 2024 – Mirror Universe)
P.S. : L’image du jour, avec sa citation, est bien à propos : « La Sagesse danse avec le vent, emportant les feuilles de l’ignorance pour révéler la forêt Sacrée de l’Acceptation ».
1️⃣ : voir les textes « S.O.S. » et « Mashup » qui seront publiés en mai 2024
2️⃣ : voir les textes « S.O.S. » et « Mashup » qui seront publiés en mai 2024
3️⃣ : voir le texte « S.O.S. » qui sera publié en mai 2024
4️⃣ : NDM : « Note du Messager », je trouvais que ceci « donnait » mieux que « NDR » : « Note du Rédacteur »
5️⃣ : voir les textes « La Ligne Directe ? », « Couple sacré – Sacré couple » et « Créateurs – Créatrices«
6️⃣ : voir les textes « Nouvel Horizon », « S’aimer soi-même, c’est semer », « Et Maintenant ! Une page de publicités … spirituelles », « Le Nombre Magique ou L’illusion de la Séparation » et …… « La Formule Magique ou la JOIE (re)trouvée »

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