
Acouphène
(sous-titre : À Coup Feint)
Ce matin-là, je vois un article, dans un journal belge, pour le traitement des acouphènes. Je ne connais pas le nombre d’années depuis que je suis sensible à ces « bruits de fond« . Par contre, j’ai souvenir de la possibilité de l’apparition de mes acouphènes. C’était à une conférence de mon Frère Léon et Francine en présence d’un ancien collègue et de son épouse. À un moment, Léon pose une question et je prends la parole en répondant « tout fier« , comme l’élève levant le doigt à une question du professeur pour laquelle il a la réponse. Ma réponse était : « L’Instant Présent« . Et à peine ai-je prononcé ces deux mots dans le présent de ce moment-là, Léon me répond une phrase du type (ce ne sont pas les mots exacts) : « Balivernes » ou « Sottises » (c’est l’esprit). Je ne dirai pas qu’il a prononcé le mot « Leurre » car j’ai écrit récemment « Le Doux Leurre de l’Instant Présent« . Bien sûr, ce ne sont que des souvenirs et, actuellement, je n’ai que des bribes de cet évènement, des circonstances qui ont mis en place mes acouphènes.
Oh ! Bien sûr, je n’en ai pas pris conscience tout de suite. Si je me réfère à certaines définitions : « Les acouphènes sont des bruits (sifflements, bourdonnements, grésillements, etc.) que l’on entend dans une oreille (ou les deux) ou dans sa tête sans qu’ils aient été émis par une source du monde extérieur. Ces symptômes sont souvent liés à un traumatisme acoustique ou au vieillissement de l’oreille« . Et effectivement, c’est ce que j’ai longtemps « cru« . Je me suis dit que, peut-être, ils venaient parce que je n’écoutais pas, que l’on me criait « dessus » à la maison ou à l’école, que j’ai entendu des bruits qui m’ont fait peur. Peut-être ai-je entendu quelque chose que je ne devais pas entendre. Ce n’est que bien plus tard que j’ai amené à ma conscience, cette expérience lors de la conférence.
Cependant, était-ce l’élément principal ? N’y avait-il pas eu quelque chose en dormance avant ? Comme quelque chose qui avait été « entendu » dans mon enfance, dans mon adolescence, dans ma vie d’adulte et que mon mental a mis de côté comme une sorte de protection. Ce serait, et je sais que l’image est étrange et, en même temps, elle m’est venue comme ceci, comme un préservatif qui a toute son intégrité pour assurer la protection que l’on attend de lui. Et puis, un jour, un autre évènement, une autre circonstance, similaire ou non, fait que ce qui avait été préservé, remonte à la surface. Et ici, comme la charge émotionnelle est trop importante, l’évènement se transmet dans le corps. En d’autres termes, le préservatif est percé et n’assure plus sa protection.
Ainsi donc, il y aurait un « programmant » et un « déclenchant« . Ce serait comme un programme (voir le texte » Oh mon prograaaaamme ! ») qui a été réveillé mais pas encore activé. Et un évènement parfois anodin vient le déclencher, l’activer. Une sorte de petite bombe nucléaire répandant sa puissance à travers le corps.
Le mot « acouphène » vient du grec « akouein » qui veut dire « entendre » et de « phainein » qui signifie « apparaître« . L’acouphène correspondrait au fait d’entendre un son qui s’apparenterait à une apparition. C’est intéressant, ce fait d’un son qui serait comme une apparition. Une apparition, c’est généralement inattendu. Elle survient sans que l’on sache pourquoi.
Et c’est ici que le voyage des mots m’emmène vers une destination inconnue, inattendue. Le mot « apparition » est emprunté au latin ecclésiastique « apparitio« , traduction du grec « epiphaneia » signifiant « action de se montrer« , « apparition (d’êtres surnaturels)« . En un instant, me revient ces expériences que j’ai vécues pour « vaincre » mes acouphènes.
Une première expérience s’est passée chez une sophrologue. Je me suis retrouvé sur un chemin dans une sorte de montagne. Ce chemin était bloqué et je ne pouvais atteindre le sommet. La deuxième expérience s’est passée chez une praticienne en EFT. Cet acronyme, signifiant « Emotional Freedom Techniques« , est une méthode de libération émotionnelle pouvait aider des personnes à gérer le stress, l’anxiété, la douleur physique et d’autres « problèmes » émotionnels. Lors de cette deuxième expérience, après une courte visualisation, je me suis retrouvé crucifié comme le Christ sur la Croix. En décrivant ce que je visualisais, la praticienne m’a semblé « perturbée » par mon expérience et elle a arrêté sans que je puisse aller « au bout » de ce que j’allais probablement vivre. Peut-être s’était-elle trouvée en « panique » par ce qui m’arrivait et qu’il lui était peut-être difficile de gérer cet évènement. Je ne l’ai jamais su car je n’y ai été qu’une seule fois.
Pourtant, cette image du Christ sur la Croix m’a ramené à la conférence du binôme Léon & Francine. Quand il m’a répondu « balivernes » ou un autre mot, ne me suis-je senti crucifié aux « yeux » des personnes dans l’assemblée ? Je ne sais pas et, en même temps, ceci reste du domaine du possible.
Après cette courte introduction (si, si, j’ai déjà fait plus long), je reviens à cette publication pour « soigner » (soit nié) les acouphènes. Dans cet article, un chercheur spécialisé en sciences des matériaux (sic !) indique que : « La littérature scientifique montre que quand une personne souffre d’acouphènes, les zones actives dans son cerveau sont, pour les plus grandes parties, la zone de la mémoire et la zone des émotions« . Intéressant ces zones de la mémoire et des émotions. Cet ingénieur civil de formation a créé un « équipement » permettant de reproduire des ondes très légères, via essais-erreurs, jusqu’à recréer l’acouphène dont la personne souffre. Il précise que, chez certaines personnes, l’acouphène disparaît pendant que l’onde est émise. Cependant si le processus, appelé biorésonance, est arrêté, l’acouphène réapparaît. Donc, le « problème » est toujours là. En même temps, le moment où l’acouphène disparaît, il indique, à coup sûr, qu’une émotion très forte est présente et en ressort. C’est pour lui, cette émotion, qu’elle soit de colère, de peur, de frustration qui est la cause de l’acouphène et non une lésion physique.
Il donne quelques exemples. Un passionné de moto, ayant vu son ami mourir dans un accident de moto, décide d’arrêter ce sport. Le « choc » (j’ai mis volontairement ce mot entre-guillemets car il a son importance) de la perte de son ami et la frustration de ne plus partager sa passion avec lui provoquent des acouphènes. Une personne qui rêvait d’être artiste mais qui, ne gagnant pas bien sa vie, accepte un emploi dans la comptabilité et commence à ressentir des acouphènes. Ou encore le cas d’une personne réveillée par l’alarme de sa maison lors d’une intrusion. La surprise du son extérieur brutal et l’émotion forte d’insécurité lui causent, à elle aussi, des acouphènes. Le chercheur précise que cela touche aussi parfois des personnes qui sont traumatisées par un mauvais choix personnel. À chaque fois qu’elles sont à nouveau confrontées à un choix, l’acouphène remplit tout leur esprit et les empêche de choisir. Ce ne sont que des exemples, ce qui m’intéresse c’est le mot « choc« .
J’ai parlé précédemment des émotions. Donc, un évènement, une circonstance que je peux nommer « choc émotionnel« , qui est inattendu, engendre des décharges émotionnelles dans le corps jusqu’à créer ce que la médecine appelle une « maladie » (mal-a-dit) (voir les textes « Sommes-nous encore des êtres dotés d’intelligence ? » et « e-Motion »). Et je reviens, à nouveau, à la conférence, ai-je ressenti un « choc émotionnel » ? Oui, j’en en ai vécu un. Mais lequel ? J’ai déjà essayé de chercher et je n’ai pas eu de réponses. J’ai fait une demande, je n’ai pas eu de réponses. En fait, une question se pose : « Est-il nécessaire de revivre l’expérience vécue dans cette conférence ?« . Je n’ai pas la réponse. « Me serait-il nécessaire de revivre tout ce qui était là comme la salle, la lumière, la chaleur, l’ambiance, les personnes présentes, en fait, tout l’environnement (voir le texte ‘L’Homme et l’Environnement’) » ?. Je n’ai pas la réponse.
Et tout ceci m’amène vers la biorésonance et la psycho-énergétique. Késako ?
Selon Wikipédia, la biorésonance est un concept utilisé en thérapie non conventionnelle, notamment en médecine quantique. Elle permettrait de faire des bilans de terrain, repérer éventuellement des « anomalies électromagnétiques » au sein des organes et de les rectifier en envoyant des signaux de très faible intensité.
J’avais déjà écrit que chaque élément a une Âme. J’avais déjà écrit à propos de la « Note Harmonique Unique« . Que chaque élément à une fréquence, une vibration, une énergie. Donc, chaque organe, tissu, cellule du corps HUmain a aussi sa propre fréquence, sa propre vibration, sa propre énergie. Dit d’une autre façon, si mon corps est en Harmonie, je suis en « bonne » santé. Je n’ai pas écrit en « santé parfaite » (j’y reviendrai ou pas, je verrai en fonction de l’écriture). Par contre, si mon corps est en Dysharmonie, je suis en « mauvaise » santé car il est « déséquilibré« .
Les méthodes de biorésonance varient, mais elles impliquent généralement l’utilisation d’appareils électroniques qui « prétendent » mesurer et corriger les déséquilibres énergétiques du corps en émettant des fréquences spécifiques. Ces appareils peuvent être des dispositifs portables ou des machines plus complexes utilisées dans des cliniques spécialisées. La science réfute la biorésonance car il n’y a pas de base scientifique solide. Pourtant, même si je n’ai pas vécu cette expérience de biorésonance, même si la science ne sait pas prouver, rien ne dit que ceci n’est pas un « outil » vers la « santé parfaite » (bon, ben, j’y viens).
La santé parfaite, ce n’est pas un état de grâce dans lequel il n’y a plus aucune maladie, aucun inconvénient, aucune blessure. La santé parfaite, c’est simplement prendre conscience que ce que je ressens, me donne un signal que quelque chose ne va pas et qu’il est nécessaire, si je l’accepte, de changer. En fait, la santé parfaite, c’est être en accord avec soi-même sur ce qui est, dans le moment durant lequel ceci se passe.
Concernant la Psychologie Énergétique (Energy Psychology, ou EP), elle fait partie de la famille des techniques psychothérapeutiques qui cherchent à rétablir l’équilibre entre le corps et l’esprit en travaillant directement sur les perturbations énergétiques du champ humain.
Donc tout ceci se réfère aux domaines de l’énergie dans le corps humain. Et ce chercheur, que propose-t-il ? Eh bien, il propose un appareil qui mesure le champ électromagnétique en très basses fréquences et le traduit en émotions et schémas de pensées conscients et inconscients activés dans l’instant où la mesure est prise. Quand j’ai lu cette « conception » que l’appareil traduit l’énergie du corps, des organes en émotions et schémas de pensées « conscients » et « inconscients« , je me suis dit « Bon sang mais c’est bien sûr » (réplique de l’inspecteur Bourrel dans la série « Les cinq dernières minutes »), comment personne n’y avait encore pensé. J’imagine un instant que je suis connecté à cet appareil qui me délivre des messages « conscients » et « inconscients« . Pourquoi pas, je suis « ouvert » à tout ce que La Création propose. En même temps, cette traduction est-elle complète ou parcellaire ? Si elle est complète, tout sera pour un mieux. Si elle est parcellaire, que se passe-t-il ? N’y a-t-il pas un manque ? Est-il même possible ensuite de trouver les fréquences les plus pertinentes pour aider les personnes à se rééquilibrer via de nouvelles ondes réparatrices. Réalité ou Utopie ? La réponse m’est donnée, à mon sens, sur le site du concepteur.
Sur son site, je trouve même des arguments, oserais-je dire « commerciaux« , qu’ils nomment « bénéfices-clés » : « Solution rapide et efficace de bilan énergétique« , « Harmonisation ciblée et personnalisée« , « Visualisation immédiate des effets thérapeutiques d’un soin« , « Exploration cadrée du monde quantique de l’information« , « Intégration dans une pratique permettant de se démarquer« , « Augmentation de ses revenus« . De nouveau, pourquoi pas. Cependant en termes d’augmentation de ses revenus, j’en connais un qui va en avoir des revenus si pas des revenants (merci mon ego).
Toujours est-il que je ne sais pas si ces « outils » m’amèneront vers la « suppression » de mes acouphènes. Se peut-il que mes acouphènes soient des messages « inaudibles » venant de je ne sais quelle source. Je reprends ce qu’Albert Camus a écrit dans la préface aux Poésies posthumes de René Leynaud : « II est vrai peut-être que les mots nous cachent davantage les choses invisibles qu’ils ne nous révèlent les visibles« . En le paraphrasant, je peux dire que « mes acouphènes me cachent davantage des messages inaudibles qu’ils ne me révèlent les audibles« .
J’ai bien lu ce que Lise Bourbeau en dit dans son livre « Ton corps dit : Aime-toi !« . Ceci me fait penser à la chanson de Frédéric François (Chanteur Italo-Belge) : « Mon Cœur te dit Je T’Aime« . Après cet aparté musical, le message spirituel sous-jacente serait : « Ton grand besoin est de t’AIMER, d’accepter tes peurs du moment. Prends le temps de trouver ce dont tu as PEUR POUR TOI dans cette situation. Ton Dieu intérieur t’invite à accueillir cette peur qui te pousse à agir ainsi, en te rappelant que tout est temporaire. Il te dit d’accueillir tes limites actuelles et de reconnaître davantage ta propre valeur. Ce n’est qu’après t’être accueilli dans tes peurs et tes limites que tu pourras te diriger vers ce que tu veux vraiment. Souviens-toi que cette partie en toi qui a peur est convaincue de te protéger. Si tu te sens capable d’assumer les conséquences de vivre selon les besoins de ton être, rassure-la« . Bon, c’est dit. Et en même temps, rien de rien, ceci ne me « parle » pas.
J’ai aussi lu des phrases sur d’autres sites comme « Vous vivez une grande tension intérieure« , « Vous êtes perturbé par vos pensées incessantes« , « Vous avez du mal à changer d’opinion et vous pouvez vous montrer très têtu« , « Vous avez peur de perdre l’équilibre et le contrôle de vous-même« , « Vous cachez vos peurs pour ne pas vous montrer vulnérable » et une dernière « Il vous est compliqué d’écouter le silence en vous« . Pour la dernière, je dirai « forcément » qu’avec des acouphènes, je ne sais pas écouter le silence en moi. Pourtant, en même temps, ce n’est pas tout à fait vrai. En ce moment, dans l’écriture de ce texte, j’entends mes sifflements. À d’autres moments, je ne les entends pas. Je dirai qu’ils sont présents quand j’y prête attention. Quand je n’y prête pas attention, c’est comme s’ils n’existaient pas.
Je reprends l’expérience que j’ai décrite dans le texte « Redemptio« . Dans mon expérience avec la hache, j’ai bien ressenti le coup et pourtant je n’ai rien ressenti d’autres qu’un coup, sur mon pied, alors que j’avais une blessure béante. Comme je n’y avais pas prêté « attention » dans l’instant, je n’ai ressenti aucune souffrance. C’est comme si elle n’existait pas. Il en est de même avec mes acouphènes. Tout ceci est bien « beau » et, en même temps, est-ce que ceci m’empêche de vivre, de dormir ? Dans mon cas, non. Ceci représente, tout au plus, pour moi, une gêne. Ceci ne m’empêche pas de suivre une conversation, d’écouter de la musique même de méditer. Je sais que, pour d’autres, ceci est difficile à vivre au quotidien.
Je termine ce texte par un élément dont aussi je n’ai pas la réponse. J’ai lu sur un site que c’est un signal que le canal de clair-audition cherche à se développer. « Soit votre âme a un message à vous délivrer, soit c’est une présence de l’invisible qui tente d’entrer en contact avec vous. L’appel sous-jacent est clair : il est temps d’ouvrir vos perceptions !« . Et puis, un outil « la voie royale pour cela est la méthode ESP que nous transmettons au cours de nos formations. Elle permet notamment de distinguer les différentes présences qui souhaitent communiquer avec nous, ainsi que de différencier les messages de notre âme de ceux des présences extérieures« .
En fait, je n’ai pas encore terminé. Sur ce même site, il y a une différenciation suivant « l’oreille » qui entend les acouphènes.
Le côté gauche du corps représente l’aspect féminin de notre personnalité : l’accueil, la réceptivité, la famille, la société, l’entreprise. L’oreille gauche souhaite faire entendre l’appel de mon Âme. « C’est bien souvent le signe d’un besoin de ressourcement céleste, un appel des sphères spirituelles. Il est temps de faire entrer plus de spiritualité dans votre vie, d’accepter de vous sentir guidé, d’accepter de vous sentir plus inspiré, d’accepter de vous sentir plus accompagné !«
Le côté droit du corps représente l’aspect masculin de notre personnalité : la force, l’individualisme, la hiérarchie, l’autorité. L’oreille droite est souvent là pour « murmurer des messages de libération, de changements profonds à apporter à ma vie, une situation que mon âme n’accepte plus. En résumé : il y a certainement des changements à mettre en place dans votre vie !« .
J’en reviens à cette dualité exprimée par le Yin et le Yang.
Est-ce mon « oreille » gauche ou droite qui est prédominante ? Dans certaines cultures, il est dit que l’oreille qui siffle à gauche est un signe « négatif » ou de « mauvais augure« , tandis que l’oreille qui siffle à droite est considérée comme un signe « positif » ou de « bonne augure« . Je dirai que c’est la droite qui « siffle » le plus surtout si j’y prête attention.
En même temps, « çà ne veut pas dire charrette » (et dans « charrette », j’entends « j’arrête »). Cette expression vient du temps où les condamnés étaient amenés à la guillotine sur une charrette. En d’autres termes, « çà n’engage à rien« , « çà ne prouve rien« , « çà ne veut pas dire grand-chose » voire « c’est sans conséquences« .
Je n’ai pas la solution concernant la disparation de mes acouphènes. Je n’ai pas le décodeur nécessaire pour intégrer des messages qui me seraient envoyés. Je n’ai pas d’informations. Peut-être, un jour, ils disparaîtront, comme « par magie« , comme le jour où ils sont apparus.
Ainsi, ce n’est que mon expérience, mes circonstances de Vie qui m’ont amené à écrire ce texte. Beaucoup de « choses » sont dites. Même si le sens, non pas à trouver, à ressentir n’est pas présent, ce n’est pas important. Ce qui est « important », c’est le Message.
Dans le livre « L’Instruction du Verseur d’Eau« , Platon le Karuna disait : « Le scribe a pour tâche de transcrire le Message afin de permettre son expression par la Lettre« . Pour ma part, je le traduis en « Le Message est La Voix de l’Ange et la Lettre en est la Forme« . Et si après avoir lu ce texte, il en viendrait à ce qu’un sifflement apparaisse, peut-être, j’écris bien peut-être, que j’avais quelque chose à vous murmurer.
(Michaël « Shichea » RENARD (20231103-1 & 20231114-1))
(Art Numérique : Bing Creator suivant mes directives)
(Musique lors de l’écriture : Le Silence)
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