
À la fin de l’écriture de ce texte, je n’avais pas son titre. Parfois, le titre vient au début de l’écriture, parfois durant l’écriture et d’autres fois, à la fin du texte. J’ai choisi d’intituler ce texte « InCognito ». Ce mot italien signifie « Inconnu » De l’italien incognito (« inconnu »). Cependant, il est tiré de la base « cognito » (« connu »), hériter du latin de « cognoscere » qui signifie « connaître ». Qu’est-ce qu’être « InCognito » sinon qu’être un connu qui voyage dans l’inconnu ?
Dans deux différents textes récents, j’ai fait référence à Platon Le Karuna. Le premier est « Un oiseau a chanté au premier jour de la Création… » et le deuxième est « Un message secret …« . Ce qui a fait que je me suis « intéressé » à cette personne est une phrase, une simple phrase qui m’a parlé. Cette phrase bien qu’énigmatique est « Un oiseau a chanté au premier jour de la Création… Il a donné à la Terre sa note harmonique« . Elle est extraite du livre « L’instruction du Verseur d’Eau » (sous-titre : « Moyens de communication Inter-Planétaire »).
Comme je l’écrivais, je me suis donc « intéressé » à cet auteur. J’ai déjà parlé de Platon le Karuna dans le premier texte donc je ne vais pas reproduire ici ce que j’avais écrit. Comme j’ai bien aimé cette citation, je me suis mis en recherche du livre précité. Je l’ai trouvé dans différents magasins virtuels même s’il est présent physiquement dans certains magasins. Il existe en version ebook et en version papier. Pour ma part, je préfère la version papier. C’est plus facile pour moi de lire en tenant le livre en main que de lire sur une tablette ou une liseuse.
J’ai donc commandé ce livre en version papier. 549 pages pour un poids de ~1.1 kg, c’est déjà, si je peux me permettre de dire, que c’est une belle brique, bon, pas aussi lourde que « Un cours en miracles » mais quand même. En même temps, si c’était le poids des livres qui était important et le plus révélateur, il y en a que je n’aurais probablement pas acheté.
La livraison de ce livre a connu quelques péripéties. Déjà, il n’était pas en stock chez le vendeur. Bon, ceci arrive. Par contre, la société de livraison m’informe qu’il sera livré un mardi. Généralement, le mardi, je suis en présentiel, donc, je demande de reporter la livraison, le lendemain. Le mercredi, je suis la livraison et je constate qu’il est bien sorti du dépôt en Belgique et qu’il arrivera en fin de journée avant 18h00. Première « déconvenue« , première surprise. J’étais comme Sœur Anne qui ne voyait rien venir. 22h30 et toujours rien. En fait, je constate que le livre est en retour au dépôt. Aucune explication. La livraison est programmée pour le lendemain donc le jeudi. Oui, mais, moi le jeudi, je suis aussi en réunion présentiel dans un autre lieu. Je décide de laisser faire. Je suis la future livraison, je constate qu’il est bien sorti du dépôt mais rien d’autre. En rentrant fin d’après-midi, un avis est déposé dans la boîte. Je me suis dit : « Ce livre se fait vraiment désiré« .
Sur l’avis, il y a un lien vers un site pour permettre de reprogrammer une autre date. Je vais sur ce site, j’introduis le numéro du colis et je reçois comme message : « numéro inconnu » et que je dois contacter le service clientèle. Ni une, ni deux, je téléphone. Je passe les détails pour avoir un opérateur francophone. Une charmante voix se présente à moi et me demande de fournir différentes informations. À un moment, je me rends compte que c’est un assistant virtuel, une intelligence artificielle (tiens ! tiens !) qui, pendant quelques instants, m’a surpris (Aaaah, cet inattendu que j’aime tant). Je demande de parler à un.e assistant.e physique, ce qui fut fait. J’explique à l’assistante qui me fait confirmer, à nouveau, différentes informations me concernant (on ne sait jamais que je sois aussi un personnage virtuel). Je lui indique que le livre doit absolument arriver vendredi. Même si, de mon côté, il n’y avait aucune urgence. Et le vendredi en début d’après-midi, le livre s’est présenté à moi via un livreur bien sympathique qui me dit d’emblée : « Ah enfin, quelqu’un qui est présent chez lui !« . Sur ce fait, je lui raconte les péripéties pour la livraison de ce livre. Donc déjà, qu’il n’était pas en stock chez le vendeur. Bon, ceci arrive. Par contre, la société de livraison m’informe qu’il sera livré un mardi .…. Pour le reste, la suite est indiquée ci-avant.
Comme j’étais seul à la maison, à ce moment-là, j’ai relu le quatrième de couverture. Une simple phrase et qui est, pour moi, déjà tellement porteuse d’énergie, de vibrations. Cette phrase est : « Il faut que j’assume le contrat de ma vie. Pour cela, mon seul refuge est la Divinité en moi, ma seule Energie est le Propulsif Divin, et ma plus grande Joie est le Service envers autrui« . Indépendamment des « Il faut » (ou des « Je Dois »), cette phrase vient en écho à une canalisation de Lady Kuan Yin quelques jours plus tôt. Dans cette canalisation, elle (re)parle de « Comment as-tu aimé ? » et de « Qu’as-tu fait pour ton prochain ?« . il y a plus d’un an, dans « Prochains battements de Coeur« , j’avais déjà écrit ce que ceci représentait pour moi. Et récemment dans « Tea for Two et Two for Tea » dans lequel j’écrivais cette phrase reprise de cette chanson « L’aube se lèvera – Et je me réveillerai« .
Et, pour moi, le lien entre le quatrième de couverture du livre, des deux questions posées par Lady Kuan Yin et de la chanson « Tea for Two » (même si cette chanson semble anecdotique alors qu’il n’en est rien) est …. roulement de tambour …. et maintenant une page de publicités spirituelles … reroulement de tambour … est, est, est ….. non seulement « d’assumer le contrat de ma vie » mais aussi « le Service envers autrui« . Et les deux questions « Comment as-tu aimé ? » et « Qu’as-tu fait pour ton prochain ? » ont tout leur sens.
Dans le texte « Severance« , publié il y a un peu moins d’un mois, je posais la question est : « Comment puis-je être libre dans l’illusion de la réalité et de la perception de mon existence ? » et je terminai par « Que répondriez-vous à cette question ?« . La seule personne qui a répondu est mon Frère Léon (à la relecture du texte, une deuxième personne a répondu et ceci fera l’objet probablement d’une autre publication, qui sait !). Il a répondu en citant une phrase du livre « La voie du Magicien » de Deepak Chopra. La citation est : « Le jour viendra où tu comprendras que tu portes en toi l’univers entier et, ce jour-là, tu deviendras un magicien. En tant que magicien, tu n’habites pas le monde, tu le contiens« . Ceci me ramène aux textes « La Formule Magique ou la JOIE (re)trouvée » (Ex Opere Operato) basés sur une canalisation de Lady Kuan Yin (je n’ai pas mis de roulement de tambour).
J’entends « Mais Michaël, où veux-tu en venir ?« . C’est vrai que je commence souvent ces questions par « Mais » (42 avec celle-ci) ou « Bon » (que 2 !). À la deuxième page du livre « L’instruction du Verseur d’Eau« , il est écrit quelques phrases qui me parlent, qui m’enchantent, qui me (r)éveillent, qui m’émerveillent.
« Toi qui poses ton regard sur cet ensemble de mots réunis dans ce Livre, cherche par la Voie du Cœur ce que ces mots ont à te dire.
Il y en a sûrement parmi le nombre quelques-uns qui sont les tiens, proches de ta Résonance. « Si tu les rencontres », laisse-les s’ouvrir entièrement en toi, ils sont si chargés d’Amour qu’ils te communiqueront leur Réalité Véritable et, pour la première fois, tu sentiras battre ton cœur au Rythme de la Vie Universelle qui naît du Souffle d’Amour de Celui qui Est« .
Comme le chantait Daniel Balavoine : « Dieu que c’est beau« . Depuis bientôt deux ans, je pose mon regard sur les mots que j’écris. Même pour moi, ils ne me sont pas tous « compréhensibles » (je parle de mon mental, de mon ego). Et c’est que j’aime, c’est l’ouverture que des mots, parfois que quelques mots, donne, me donne, offre, m’offre dans la rédaction et dans la lecture.
Les mots, ces mots, ses mots, mes mots sont comme des étoiles disséminées dans un ciel nocturne. Ils éclairent le chemin de la (Re)Connexion Intérieure. Cette lumière qui transcende les frontières de mon intellect pour plonger dans la profondeur de mon Âme.
Il y a, parmi mes mots aussi, sûrement parmi le nombre quelques-uns qui sont aussi bien les miens que les tiens. Des échos familiers, des résonances qui réveillent en moi des souvenirs ancestraux. Ces mots ne sont pas seulement des lettres alignées, mais des porteurs d’énergie, des messagers d’une Vérité dépassant le simple langage. En les rencontrant, je les laisse m’ouvrir entièrement, comme une fleur déployant ses pétales sous les premiers rayons du Soleil. Ils sont des fragments d’éternité, des fragments de moi-même attendant d’être réunis.
Mes mots sont des fragments d’Amour, cette énergie tellement puissante. L’Amour est le fil conducteur de l’Uni-vers, tissant une trame invisible entre chaque être, chaque élément le constituant. Lorsque je me connecte à ces mots avec le Cœur Ouvert, je me fonds dans l’Essence même de ma propre Existence. Ainsi je (re)découvre que je fais partie d’une Symphonie Infinie dont chaque note est une expression UNique de la Vie Uni-vers-elle, de ma Vie Universel.
Pour la première fois, pour certain.e.s, je sens battre mon Cœur au Rythme de la Vie Uni-vers-elle naissant du Souffle d’Amour de CELUI QUI EST. C’est un battement sacré, une pulsation surpassant les limites de la chair pour s’unir à l’Harmonie Cosmique. Dans cet instant, je me libère des chaînes illusoires de l’ego et je plonge dans l’océan infini de la Conscience Uni-vers-elle.
Ainsi, en tant que chercheur, que dis-je, Créateur, de ma Propre Vérité, je laisse ces mots être les clés ouvrant les portes secrètes de mon ÊTRE. J’explore la réalité au-delà des illusions découvrant les énergies subtiles qui animent chaque lettre, chaque syllabe, chaque espace, chaque silence. En suivant la Voie du Cœur, je (re)deviens le Pèlerin de mon Âme, le voyageur (re)découvrant que, dans l’infiniment petit comme dans l’infiniment grand, tout est relié par le fil invisible de l’Amour.
Rien que d’avoir écrit puis lu et relu ces mots, mes mots, j’en ai eu des frissons. Ces merveilleux frissons qui sont cette Énergie qui me traverse et qui m’indique qu’il y a quelque chose qui s’est (ré)intégrée en moi. J’utilise souvent les « (re) » car je sais que ce que je (re)découvre a toujours été ici. Même si j’entends souvent et que j’ai aussi écrit que je suis sur Terre, sur ce Plan Terrestre pour apprendre, pour vivre des expériences, je sais surtout que l’élément clé, c’est l’AMOUR.
Je sais que les périodes actuelles de ce plan d’incarnations sont difficiles, complexes, pour certain.e.s. J’ai écrit ce texte un 11 novembre. Ce n’est pas un hasard. Le 11 novembre, depuis plus de 100 ans, est célébré en Belgique, en France, en Serbie, au Canada, au Royaume-Uni et aux Etats-Unis. C’est la célébration de la fin de la Première guerre mondiale. Ce jour de l’Armistice marque la fin d’un conflit qui a fait près de 20 millions de victimes qu’elles soient militaires ou civiles. Au Royaume-Uni, pour honorer les soldats tombés au combat, le symbole utilisé est le coquelicot. « Pourquoi cette fleur ?« . Au printemps 1915, les champs flamands entourant les tranchées britanniques étaient remplis de coquelicots. Dans le langage des fleurs, il est dit que la fragilité de ses pétales n’a d’égale que sa résilience. Il se ressème seul chaque année grâce aux graines noires s’échappant de son fruit. Il fleurit à l’approche de l’été et des moissons. C’est un symbole « d’ardeur fragile« . Il incarne la force qui peut se cacher derrière une apparente vulnérabilité, et peut ainsi être offert à un être cher pour lui signifier que l’on le sait capable de surmonter toutes les épreuves. Son indéniable grâce lui apporte la vertu de plante de réconfort et même de symbole de la beauté si délicate soit-elle. J’avais déjà écrit sur cette fleur simple et magnifique dans le texte « Le chant du coquelicot » publié, il y a plus de 18 mois. « Le coquelicot nous enchante en nous offrant l’évanescence de sa force tranquille à traverser les épreuves de la vie » terminait le texte et maintenant, j’écris « Le coquelicot m’enchante en m’offrant l’évanescence de sa force tranquille à traverser les épreuves de ma Vie« .
Je ne m’égare pas dans mon propos. Tout a son sens. Sens caché parfois, sens révélé à d’autres moments. Je reviens dans cette période hivernale dont parfois j’oublie les bienfaits dans les tumultes de ma Vie. En hiver, j’ai l’occasion de prendre, encore plus, du temps pour Moi. Oh je sais que beaucoup préfère le printemps. J’en fais aussi partie à certains moments. Le printemps, c’est la période qui fait, souvent, appel au « ménage de printemps« . Celle où sont enlevées de vieilles choses soit pour s’en débarrasser, soit pour en remettre de nouvelles. Il en est de même pour certaines habitudes. C’est aussi le moment de changement pour certain.e.s. Mais, en fait, pourquoi attendre le printemps ?
L’hiver, aussi, permet de « nettoyer » par le « froid » comme le fait le « chaud » du printemps. Il permet de me poser, de me « nettoyer« . Il permet de « nettoyer » mon esprit, de quelque part, faire mon « ménage de printemps » en hiver. Quand je parle de « ménage« , c’est de le faire aussi dans sa tête, dans son corps. « Mais Michaël ! Un ménage d’hiver, pourquoi faire ? Quelle idée ? » (43 avec celle-ci). Exactement ! De quelle idée n’ai-je plus besoin ? Que suis-je prêt à laisser derrière moi tant en me disant « Qu’est-ce que je suis prêt à défendre ?« , « Qu’est-ce que je vais observer en moi et autour de moi ?« , « Comment puis-je me (ré)unifier avec mon plan personnel ?« , « Comment puis-je intégrer, au quotidien, ce Souffle d’Amour ?« , « Qu’est-ce qui m’a fait perdre ma JOIE ?« , « Comment puis-je (re)trouver la JOIE ? » (eh oui, j’y reviens souvent, PDF disponible sur ce groupe).
Oui, je sais, beaucoup de questions dont la réponse n’est qu’en Moi. En me posant ces questions et bien d’autres, dans les moments précis de cette époque, qui je le rappelle est aussi une époque de transformation, de transition, dans ce passage (un pas sage) d’un état à un autre, je sais que je vais avoir besoin d’Énergie, de beaucoup d’Énergie. J’ai déjà parlé de l’ancrage. Les tempêtes actuelles ne sont « rien » en rapport avec les ouragans et les tornades qui les accompagnent. Je ne suis pas « négatif » en écrivant ceci. Je dis simplement qu’il va y avoir un grand « ménage » ou plutôt un nouvel « arrangement« , une nouvelle « ère » (pour ne pas écrire une nouvelle « Ève » en ce début d’année). Sans jugement aucun, certain.e.s resteront encore, un peu, dans ce plan. D’autres vont aller vers d’autres « contrées« . Comme je le dis souvent, il n’est pas question d’élus, de médailles, j’ajoute aujourd’hui de méritants. Chacun a choisi, depuis longtemps, très longtemps, son Chemin de Vie, sa Voie du Cœur.
Ainsi, donc, l’énergie n’est pas à dépenser, à « gâcher » pour se perdre dans les méandres de l’ego. « Gâcher« , pour reprendre la signification chez les plâtriers, c’est « Manquer son Ouvrage« , je dis, pour moi, « Manquer son Œuvre » (Mes Anges, Mes Guides, Placez-moi et Accompagnez-moi dans mon Œuvre la plus Juste). Ne pas « gâcher » ce que JE SUIS, c’est Être MOI-MÊME. Personne ne peut me l’enlever, aucune personne, aucune autorité ni même le plus sage des sages ne peut me défaire de mon HUmanité Consciente. Pour ne pas « gâcher » mon énergie, je m’octroie des pauses. Je prends le temps, quelques instants, quelques minutes pour revenir à mes questions essentielles dont celles que j’ai déjà écrites plus haut dans ce texte, et, en même temps « Pourquoi SUIS-JE ici et maintenant ?«
« Pourquoi SUIS-JE ici et maintenant ?« . Certain.e.s seraient tentés par leur expérience de Vie de répondre : « Mais, je n’ai plus envie (en vie) d’être ici. Je n’ai jamais demandé à être ici« . Oui, j’entends et, en même temps, « j’applique » les 3 C. Les 3 C ? Oui, C comme Courage, C comme Conscience, C comme Confiance. En choisissant de m’incarner dans ce temps, dans les épreuves de ce temps, dans les expériences de ce temps, dans les circonstances de ce temps, en choisissant, dé-li-bé-ré-ment, de vivre ma situation physique, ma situation émotionnelle, ma situation spirituelle dans les circonstances actuelles, je sais qu’il est nécessaire d’avoir du courage, d’être en conscience et de garder sa confiance. Ainsi, je repose la question sous un autre angle, un autre point de vue : « Qu’est-ce que JE FAIS ici et maintenant ?« .
« Qu’est-ce que JE FAIS ici et maintenant ? » et non plus « Pourquoi SUIS-JE ici et maintenant ?« . La réponse est : « Je suis venu.e apprendre à AIMER. Je suis venu.e à apprendre à m’UNIR avec TOUT CE QUI EST. Je suis venu.e, ici et maintenant, (re)trouver l’échantillon de QUI JE SUIS vraiment« . En intégrant « Je suis venu.e apprendre à AIMER« , je repose les deux questions que j’ai déjà écrites : « Comment as-tu aimé ? » et « Qu’as-tu fait pour ton prochain ? » (je lance cette invitation, cette énergie d’invitation à (re)lire les textes « Prochains battements de Coeur » et « Tea for Two et Two for Tea »).
Et même si je n’ai pas, encore, la réponse pleine et entière à ces deux questions, je sais que je peux les intégrer. Cette intégration se fait sans jugement, sans critique, sans avoir une « bonne » ou une « mauvaise » note. Cette intégration, c’est juste observer la réponse que j’y donne au jour le jour. La réponse est évolutive, changeant, mouvante en fonction des pas sages que j’imprime, que j’emprunte sur mon Chemin. C’est un peu comme la question « Comment est ma peine ? » (voir le texte du même nom). Simplement en observant, sans jugement, je le précise, à nouveau, que les adaptations, les améliorations, l’intégration viendront par elles-mêmes. Ce n’est pas une compréhension à attendre, simplement que ceci amènera vers le Souvenir (sous-venir) de QUI JE SUIS VRAIMENT et non pas CE QUE L’ON EST. Pour moi, CE QUE L’ON EST, c’est être dans la matière. Je suis un être de chair et de sang ayant la capacité d’être conscient même si certain.e.s sont inconscient.e.s (juge-ment). C’est ressentir les peurs, les pleurs. Le QUI JE SUIS VRAIMENT, c’est ÊTRE dans la LUMIERE, dans l’AMOUR.
Je termine ce texte pour celles et ceux qui estiment qu’ils sont dans le noir, dans l’ombre en écrivant une phrase, une simple phrase qui m’est venue, le jour précédent l’écriture de ce texte dense, très dense : « L’ombre, c’est la Lumière qui voyage incognito« . Et tant que j’y suis « En intégrant un ‘i’ au mot ‘amer’, je trouve le mot ‘AIMER’« .
Je te remercie, Âmie Lectrice, Âmi Lecteur, d’avoir pris le Courage, la Conscience et la Confiance de lire ce texte.
(Michaël « Shichea » RENARD (20231111-1))
(Art Numérique : Bing Creator suivant mes directives)
(Musique lors de l’écriture : Le Silence, Lady Kuan Yin et Althéa)
(Musique lors de la relecture : Vangelis – La petite fille de la mer (piano solo) & Vangelis – Memories of Green (piano solo))
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